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dimanche 20 juin 2010
mercredi 5 mai 2010
SIAM 2010 : L'industrie agricole espagnole à la recherche d'opportunités d'affaires au Maroc
Madrid, 03/05/10 - Le Salon International de l'Agriculture au Maroc (SIAM), qui a fermé ses portes dimanche dans la ville de Meknès, a été le point de rencontre d'entreprises agricoles de plusieurs pays, notamment d'Espagne, attirées par " les opportunités d'affaires et par le Plan Vert lancé par le Maroc".
Avec pas moins de 18 entreprises spécialisées, la région de l'Andalousie, faisant prévaloir son voisinage avec le Maroc et la progressive pénétration de ses entreprises dans le tissu agroalimentaire Marocain a été la plus représentative de toutes les autres communautés espagnoles ayant pris part à cette 5ème édition du SIAM, relève lundi la presse Andalouse.
Encadrées par Extenda (Agence Andalouse de promotion extérieure) et par l'Institut Espagnol de Commerce extérieur (ICEX), les entreprises agricoles Andalouses ont participé à ce Salon International de l'Agriculture dans l'objectif de proposer leurs produits et leur savoir-faire agricoles et conclure des affaires avec les professionnels de l'agriculture Marocains, souligne-t-on de même source.
Certaines des entreprises Andalouses ont participé pour la première fois au SIAM alors que d'autres ont renouvelé leur présence convaincues de l'importance et des grandes opportunités d'affaires qu'offre ce Salon de renommée internationale.
L'Espagne a été représentée au 5ème SIAM par plus de 34 entreprises de l'Industrie auxiliaire agricole, encadrées notamment par le ministère espagnol de l'Environnement et l'Institut espagnol du commerce extérieur (ICEX), rappelle-t-on.
Le Salon international de l'agriculture au Maroc a fermé ses portes, dimanche, avec le chiffre record de 800.000 visiteurs et la participation de 800 exposants, dont 184 représentant 30 pays.
Ouverture à Dubaï du 17ème salon du marché de voyage arabe
Dubaï, 04/05/10 - La 17ème édition du salon du marché de voyage arabe s'est ouverte, mardi à Dubaï, avec la participation du Maroc.
Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Yassir Zenagui et l'ambassadeur du Maroc aux Emirats Arabes Unis, Abdelkader Zaoui ont pris part à la cérémonie d'ouverture de cette manifestation de deux jours, organisée par l'office du tourisme à Dubaï.
Cet événement international, qui compte parmi les plus importantes manifestations touristiques, connait la participation de plusieurs organismes de tourisme mondiaux, d'établissements hôteliers et d'agences de voyage internationales.
A travers sa participation à cet événement, le Royaume vise à faire connaître et à promouvoir la destination Maroc, qui occupe de plus en plus une place importante à l'échelle internationale, notamment auprès des promoteurs et organismes de tourisme arabes, a indiqué M. Zenagui.
Dans une déclaration à la MAP, à l'occasion de l'ouverture du salon, le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a indiqué que le salon du marché de voyage arabe constitue une occasion pour s'ouvrir sur les marchés de la région du Moyen Orient, leviers importants de l'activité touristique du Maroc.
La participation à cette manifestation internationale, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la nouvelle stratégie marketing que le Royaume a adoptée récemment, s'incère dans le cadre des efforts déployés par le Maroc en vue de se positionner sur de nouveaux marchés touristiques porteurs et nouer des liens avec des acteurs et des promoteurs touristiques internationaux, a ajouté M. Zenagui.
Le Maroc est représenté dans ce forum touristique mondial par l'Office national marocain du tourisme (ONMT) qui profite de tels évènements pour promouvoir la destination Maroc et présenter les particularités et les spécificités du produit touristique marocain.
Prennent part à ce salon également environ 400 professionnels de tourisme, dont des directeurs d'établissements hôteliers et de tourisme, des promoteurs touristiques, des artisans, des représentants d'agences de voyage nationales et des cadres du ministère de tourisme.
L'ONMT tient au sein de ce salon un pavillon qui s'étend sur une superficie de 150 m2 conçu sous forme d'un ryad marocain, et qui comprend un salon décoré dans la pure tradition marocaine et une petite aile qui représente les destinations touristiques des différentes régions du Royaume, outre un espace réservé aux grands établissements hôteliers marocains, agences de voyages nationales et ONMT.
La cérémonie d'ouverture de cet événement a été marquée par la visite qu'a effectuée le vice-président et Premier ministre des Emirats arabes unis (EAU), cheikh Maktoum ben Rached Al-Maktoum, dans le pavillon marocain, et auquel des explications ont été données, sur la richesse et la qualité du l'offre touristique marocaine.
samedi 13 mars 2010
MobiCash - First money transfer service for Morocco
MobiCash is a complete mobile payment platform that works immediately on every existing cell phone. Transactions are securely signed with NSDT (Near Sound Data Transfer), a technology that sends “cryptosounds” through the phone’s audio channel to enable contact-less mobile payment.
This new service allows operators to provide their subscribers with variety of services and conduct, secure transactions such as deposit and withdrawal of money from Mobicash accounts in all Telecom agencies. It also provides bill payments, money transfers across Morocco as well as mobile banking and international remittances services.
This could be an excellent option for companies that offer mass-market mobile applications and are looking for ways to easily accept payments.
This service is open to customers of Maroc Telecom without having to hold a bank account and its activation takes place in Maroc Telecom agencies upon presentation of the national identity card.
Through its innovative platform, people can now leave their cash behind and safely. However the question of how subscribers can be assured that their money will not be siphoned from their accounts has however, not been fully addressed and many people are still skeptical about the security of mobile commerce.
Maroc-Telecom, of which the French group Vivendi holds 51% shares, employs more than 11,000 people.
Maroc-Telecom, Meditel and Maroc Connect are the three telephone companies currently operating in Morocco.
Read The Whole Story
http://www.africanews.com/site/First_money_transfer_service_for_Morocco/list_messages/2931 4
Source : http://www.mobile-financial.com
vendredi 12 mars 2010
Franchise: Les concepts marocains se développent au-delà des frontières du Royaume (journal français)
Paris,07/03/10- Le secteur de la franchise et du commerce organisé du marché marocain affiche une croissance remarquable et les enseignes marocaines se développement même au-delà des frontières du Royaume, affirme l'hebdomadaire français "Le Journal du Dimanche" (JDD).
"Les concepts marocains à succès comme Marwa (mode), Venezia Ice et Top Classe (commerce alimentaire) se développent dans les pays du bassin méditerranéen", souligne le JDD, dans son édition dominicale.
Réciproquement, les marques françaises, issues principalement des secteurs mode, habillement mais aussi services, représentent quant à elles un quart des franchises installées au Maroc, ajoute la publication.
Selon le journal, plus de cent réseaux français (Jeff de Bruges, Speedy, Orchestra, Pigier, Celio, Lady Fitness, Guy Hoquet, etc) ont réussi leur développement au Maroc.
Le secteur affiche une croissance remarquable de 24 pc en moyenne annuelle sur la période 1997-2006, relève le JDD pour qui les facteurs majeurs de cette évolution sont "l'urbanisation et les habitudes de consommation qui participent activement à ce fort développement de la franchise dans les villes moyennes marocaines".
Symbole du dynamisme du secteur, la Fédération marocaine de la Franchise compte aujourd'hui plus de 400 réseaux réunissant près de 3.200 points de vente répartis dans les villes du Royaume, dont principalement Casablanca et Rabat, constate la publication.
Le JDD rappelle, à cet égard, que le Maroc sera l'invité d'honneur de l'édition 2010 du Salon international de la Franchise "Franchise Expo", prévue du 14 au 17 mars à Paris.
M. Abbas El Fassi pour la construction avec l'UE d'un espace économique intégré et plus solidaire
Grenade (Espagne)- Le Maroc et l'Union européenne (UE) ont la "volonté commune" de construire un espace économique "homogène, intégré et surtout plus solidaire", a affirmé samedi à Grenade (sud de l'Espagne), le Premier ministre, M. Abbas El Fassi.
Le potentiel de développement entre le Maroc et l'UE "ouvre des perspectives prometteuses de partenariat entre le Nord et le Sud" dans l'objectif de "répondre à notre ambition et volonté commune de construire un espace économique le plus homogène et intégré" possible, a souligné M. Abbas El Fassi lors de la séance de clô ture du premier Sommet entrepreneurial UE-Maroc.
Le Maroc, grâce aux chantiers de réformes menés sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, sur les plans politique, économique et humain, a su édifier une économie en pleine émergence, a-t-il affirmé lors de cette séance en présence du président du gouvernement espagnol, dont le pays assure la présidence tournante de l'Europe, et du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.
Ce forum patronal, qui intervient à la veille du premier Sommet UE-Maroc, révèle le rô le majeur qui pourrait être joué par les milieux d'affaires dans la concrétisation des objectifs fixés par le Statut avancé entre le Maroc et l'UE en apportant une valeur ajoutée à la mise en œuvre de ce partenariat à la fois dense et diversifié, a fait observer le Premier ministre.
Il a, dans ce sens, précisé que la tenue de ce forum, dans un contexte économique mondial complexe marqué pas la crise économique et de nombreux défis, constitue une "occasion propice pour faire de notre proximité multidimensionnelle : culturelle, économique et politique, un levier pour l'exploration de nouveaux créneaux de coopération et d'investissement".
Selon le Premier ministre, le Maroc et l'UE sont appelés à rechercher les complémentarités et les synergies tant au niveau bilatéral que régional, afin de concrétiser des projets d'envergure, notamment dans des domaines aussi essentiels que le transport et la logistique, l'énergie et spécialement les énergies renouvelables.
A cet égard, M. Abbas El Fassi a mis l'accent sur la nécessité de conjuguer les efforts et les moyens tant au niveau décisionnels qu'opérationnels et de mettre à profit tous les mécanismes à la fois institutionnels et politiques pour que l'action commune converge vers la mise en place d'un "partenariat économique mutuellement bénéfique et la conception d'un nouveau modèle relationnel entre le Maroc et l'UE".
De même, le Premier ministre a formulé le vœu que les travaux de ce forum se traduisent en projets concrets et que les liens qui vont naître de cette rencontre entre les différentes organisations patronales permettront au Maroc et à l'Europe d'agir de concert en faveur de l'édification d'un "espace commun prospère, dynamique et surtout solidaire".
La cérémonie de clô ture de ce forum a été marquée par la présence notamment du président de la Commission européenne (CE), José Manuel Durao Barroso, le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE, et le président du gouvernement autonome de l'Andalousie, José Antonio Grignan.
M. El Fassi était arrivé samedi après-midi à Grenade à la tête d'une importante délégation composée de ministres des Affaires étrangères et de la coopération, de l'économie et des finances, de l'Education nationale, de l'agriculture et des pêches maritimes, de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies, ainsi que du commerce extérieur et du secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur.
Initié par la Confédération Espagnole des Organisations Entrepreneuriales (Patronat-CEOE), Business Europe et la Confédération générale des entreprises du Maroc, ce sommet entrepreneurial a été l'occasion de faire la lumière sur les projets futurs de l'UE, les perspectives du marché marocain et les opportunités qu'il offre dans les secteurs des énergies renouvelables, du transport, de la logistique et des infrastructures.
Cette rencontre a rassemblé les représentants des organisations entrepreneuriales de l'UE et du Maroc, des institutions financières espagnoles, européennes et marocaines, des chefs d'entreprises, ainsi que des représentants de l'UE et des gouvernements marocain et espagnol.
Tenu dans le cadre de la présidence espagnole de l'UE, ce sommet est organisé en collaboration avec le ministère espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, l'ambassade du Maroc en Espagne et la Fondation Casa Arabe.
Le Maroc et l'UE condamnés à réussir le projet de statut avancé pour en faire un modèle (M. Hourani)
Grenade (Espagne) - Le Maroc et l'Union européenne sont condamnés à réussir le Statut avancé afin d'en faire un modèle déployable à d'autres pays de la région, a affirmé, samedi à Grenade (Sud de l'Espagne), M. Mohamed Hourani, président de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM).
"L'accès du Maroc au statut avancé est un honneur et une grande responsabilité. Nous sommes condamnés à réussir ce grand projet afin d'en faire un modèle déployable à d'autres pays de la région", a dit M. Hourani qui s'exprimait devant nombre d'entrepreneurs européens réunis au premier Sommet entrepreunarial UE-Maroc.
Le président de la CGEM a également relevé que l'accès à ce stade de coopération " ne procède pas d'une tentation de singularisation ou d'un réflexe d'exclusivité, mais se veut une contribution du Maroc au renforcement du partenariat euro-méditerranéen".
Il a par ailleurs indiqué que les accords de libre-échange conclus par le Maroc avec l'UE, mais également les Etats-Unis, la Turquie, les pays arabes et bientôt les Etats d'Afrique de l'Ouest, "reflètent notre ambition de faire du Royaume une véritable plate-forme internationale d'investissement, de production et d'exportation".
Dans le cadre de cette stratégie volontariste de développement économique et social, a-t-il précisé, "nous sommes mobilisés" au sein de la CGEM en faveur de l'insertion du Maroc dans l'économie mondiale du savoir.
"Le choix de notre slogan +l'entreprise marocaine : oser et innover+, est l'expression de notre conviction profonde quant à la capacité des entreprises marocaines à construire l'avenir par l'amélioration de notre compétitivité et par la création de produits et de services innovants à très forte valeur ajoutée", a dit M. Hourani.
M. Hourani a indiqué que le Maroc s'est doté de stratégies sectorielles ambitieuses qui donnent une visibilité claire aux opérateurs marocains et étrangers, citant à ce propos la vision 2010 et le Plan Azur pour le secteur touristique, la stratégie Emergence pour l'industrie, le Plan " Maroc Vert " visant le développement du secteur agricole, le Plan Halieutis pour le secteur de la pêche, la Vision 2015 pour l'artisanat, Maroc Numeric 2013 pour les TIC, la stratégie énergétique du Maroc, et très prochainement un contrat programme pour la logistique.
Dans le même ordre d'idées, M. Hourani a noté que la logique de développement durable "guide l'ensemble de nos actions afin d'offrir aux générations futures" une économie à la fois durablement performante et respectueuse de l'environnement.
Dans le souci de couronner de succès ces stratégies, SM le Roi Mohammed VI avait annoncé, en janvier dernier, la mise en place d'une régionalisation élargie, a rappelé M. Hourani, soulignant que le Maroc continue "avec vigueur et confiance " la mise en œuvre de son vaste programme de réformes.
Initié par la Confédération Espagnole des Organisations Entrepreneuriales (Patronat-CEOE), Business Europe et la Confédération générale des entreprises du Maroc, ce sommet entrepreneurial est l'occasion de faire la lumière sur les projets futurs de l'UE, les perspectives du marché marocain et les opportunités qu'il offre dans les secteurs des énergies renouvelables, du transport, de la logistique et des infrastructures.
Cette rencontre, dont les recommandations seront soumises au sommet Maroc-UE qui s'ouvre ce samedi en fin d'après-midi, rassemble les représentants des organisations entrepreneuriales de l'UE et du Maroc, des institutions financières espagnoles, européennes et marocaines, des chefs d'entreprises, ainsi que des représentants de l'UE et des gouvernements marocain et espagnol.
Tenu dans le cadre de la présidence espagnole de l'UE, ce sommet est organisé en collaboration avec le ministère espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, l'ambassade du Maroc en Espagne et la Fondation Casa Arabe.
Le statut avancé, une opportunité pour renforcer l'ancrage du Maroc au grand projet européen (M. Amrani)
Grenade (Espagne) - Le statut avancé représente une véritable opportunité pour le Maroc en vue de mettre en place de liens de partenariat de plus en plus privilégié et intégré avec l'UE, a souligné samedi à Grenade M. Youssef Amrani, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.
-Envoyés spéciaux
S'exprimant à l'ouverture du premier sommet entrepreneurial UE-Maroc, M. Amrani a réitéré le choix stratégique et politique du royaume de réussir son ancrage au grand projet européen.
Il a fait part également de la volonté du Maroc de poursuivre ses efforts pour la consolidation du statut avancé, accordé par l'UE en octobre 2008, à travers "des contenus plus substantiels, des projets plus consistants et des mécanismes plus viables et de plus en plus concrets".
Pour atteindre un tel niveau dans ses relations avec l'UE, le Maroc qui a connu, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, de grands et irréversibles changements aux niveaux politique, économique et social, est devenu "un interlocuteur et un partenaire qui jouit d'une grande crédibilité et qui inspire une grande confiance", a-t-il indiqué.
Dans ce sens, a poursuivi M. Amrani, l'adoption du statut avancé a été rendue possible grâce à l'adoption d'"une feuille de route conjointe", qui s'est traduite par la mise en place d'une série d'actions et de mesures privilégiant ainsi un rythme équilibré, différencié et dynamique concernant, notamment, les dimensions politique et économique afin de relever les défis régionaux et internationaux.
Dans le même ordre d'idées, M. Amrani a précisé que le statut avancé constitue également une plateforme pour l'implication directe du secteur entrepreneurial du Maroc et de l'ensemble de l'Europe des 27.
Ce cadre institutionnel qui permettra un environnement favorable à l'investissement est à même de renforcer le partenariat entre les secteurs privés des deux cô tés qui seront, in fine, les grands bénéficiaires directs du statut, a-t-il dit.
A l'heure de la crise financière internationale, a noté le secrétaire général, le Maroc demeure un marché émergent offrant de grandes opportunités d'affaires grâce notamment à une politique de grands projets en matière d'infrastructures et de services.
Par ailleurs, M. Amrani a indiqué qu'aux niveaux bilatéral et régional, le statut avancé doit se traduire par une consolidation de la coopération politique entre le Maroc et l'UE, à travers le renforcement des canaux de dialogue et de concertation, ainsi que la mise en route d'actions communes en matière de sécurité régionale.
Il a, à cet égard, rappelé que l'ensemble des actions prévues par le statut avancé sont en parfaite harmonie avec les options fondamentales de la politique extérieure du Maroc, et convergent vers les orientations majeures en matière économique.
Concluant sur le premier Sommet UE-Maroc, qui ouvrira samedi soir ses travaux à Grenade, M. Amrani a souligné que cet événement traduit la nouvelle dimension de leur relation ainsi que leur volonté commune de relever ensemble les grands défis, aux niveaux régional et international, dans les domaines politique, économique, culturel, de l'environnement et en matière de sécurité.
La CGEM demande l'adhésion à la "Business Europe", l'organisation des patronats européens
Grenade - Le président de la CGEM, M. Mohamed Hourani, a demandé, samedi à Grenade, l'adhésion de son organisation à la "Business Europe", la puissante fédération des patronats européens et principal défenseur des intérêts des entreprises membres auprès des instituions de l'UE.
-Des envoyés spéciaux de la MAP..
Au cours du Sommet entrepreneurial Maroc-UE, réuni en prélude au premier sommet entre le Royaume et l'UE à Grenade (sud de l'Espagne), le dirigeant du patronat marocain a exprimé cette demande officielle afin de "construire avec nos partenaires européens les meilleures conditions d'opérationnalisation des accords" conclus dans le cadre du Statut avancé.
"Nous voulons ainsi exprimer notre engagement dans le chantier ouvert par le statut avancé", a-t-il précisé dans une déclaration à la MAP.
Une telle adhésion "nous permettra d'être au fait des changements opérés en Europe et de les suivre, sachant que l'ultime objectif de ce Statut avancé est d'avoir un marché commun auquel participera activement notre pays", a ajouté M. Hourani.
Pour plaider la candidature de la CGEM, M. Hourani a fait valoir, devant ses pairs européens, la mise à niveau nécessaire des entreprises marocaines aux normes européennes qui est "largement engagée".
Il a d'autre part, salué la conclusion de l'accord sur les produits agricoles et agro-industriels entre le Maroc et l'UE, il y a trois mois, avant de demander que sa mise en œuvre soit accélérée.
Quant à l'accord sur la libéralisation des services et du droit d'établissement, en cours de négociations, la CGEM est déterminée à œuvrer pour qu'il soit "le plus large possible afin que les normes marocaines convergent vers l'acquis communautaire", a-t-il dit.
Pour le patronat marocain, ce futur accord sera, certes, un "puissant catalyseur pour la compétitivité et la croissance" de l'économie marocaine, mais il "n'aurait pas grand sens s'il n'intègre pas un volet garantissant la libre circulation des professionnels concernés".
Initié par la Patronat espagnol, BusinessEurope et la CGEM, le sommet économique Maroc-UE constitue une occasion pour jeter la lumière sur les projets futurs de l'UE, ainsi que les perspectives du marché marocain et les opportunités qu'il offre dans les secteurs des énergies renouvelables, du transport, de la logistique et des infrastructures.
Cette rencontre rassemble les membres des organisations entrepreneuriales de l'UE et du Maroc, des institutions financières espagnoles, européennes et marocaines, des chefs d'entreprises, ainsi que des représentants de l'UE et des gouvernements espagnol et Marocain.
Les relations entrepreneuriales Maroc-UE, un modèle à suivre par les pays euro-méditerranéenns (patronat espagnol)
Grenade - Les relations entrepreneuriales du Maroc avec l'UE, qui s'inscrivent dans le cadre de la Politique européenne de voisinage (PEV), est un modèle à suivre par les pays euro-méditerranéens, a indiqué, samedi à Grenade (sud de l'Espagne), le président de la Confédération Espagnole des Organisations Entrepreneuriales (CEOE), M. Gerardo Diaz Ferran.
Des envoyés spéciaux de la MAP
Le Maroc déploie de grands efforts pour renforcer davantage ses relations économiques avec les 27 pays de l'UE, a affirmé le président du patronat espagnol, lors de l'ouverture du sommet entrepreneurial UE-Maroc.
Il a salué, dans ce cadre, les efforts déployés par le Royaume pour moderniser ses institutions économiques et construire un partenariat privilégié avec l'ensembles des pays de l'UE.
La coopération entre les hommes d'affaires marocains et espagnols constitue une "référence stratégique" dans le pourtour méditerranéen, a indiqué M. Ferran, qui a appelé à intensifier les contacts entre les deux parties pour aller de l'avant dans la coopération technique, technologique, entrepreneurial et d'investissement.
Selon M. Ferran, le Maroc et les pays européens devraient promouvoir davantage leur collaboration afin de diversifier les champs de coopération et d'investissement et à tirer profit des opportunités offertes par les deux parties pour accélérer la mise en œuvre du Statut avancé.
Ce Sommet constitue une opportunité pour renforcer ces relations privilégiées et édifier un partenariat équilibré plus solide dans l'intérêt des deux parties, a-t-il dit, faisant savoir qu'une participation plus active du Maroc dans la PEV est de nature à donner un nouvel élan à une intégration de plus en plus efficace du Royaume dans le marché européen.
Initié par le Patronat, BusinessEurope et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), le sommet économique Maroc-UE constitue une occasion pour jeter la lumière sur les projets futurs de l'UE, ainsi que les perspectives du marché marocain et les opportunités qu'il offre dans les secteurs des énergies renouvelables, du transport, de la logistique et des infrastructures.
Cette rencontre rassemble les membres des organisations entrepreneuriales de l'UE et du Maroc, des institutions financières espagnoles, européennes et marocaines, des chefs d'entreprises, ainsi que des représentants de l'UE et des gouvernements espagnol et Marocain.
Les conclusions de cette rencontre seront soumises au premier Sommet UE-Maroc, qui devra ouvrir ses travaux samedi en fin d'après midi à Grenade, sous la co-présidence du Premier ministre, M. Abbas El Fassi et du président du Conseil européen, M. Herman Van Rompuy.
La 2-ème édition de la ''Journée nationale de l'entreprise'' en mars prochain à Casablanca
Rabat, 26/02/2010 - La 2-ème édition de la ''Journée nationale de l'entreprise'' aura lieu le 13 mars prochain à Casablanca, à l'initiative de l'Agence Nationale pour la promotion de la petite et moyenne entreprise (ANPME) et le Centre des jeunes dirigeants (CJD).
Un communiqué conjoint de l'ANPME et du CJD précise qu'il sera procédé, lors de cette journée, à la remise des prix aux entreprises nationales ayant réalisé des performances remarquables en 2009.
Six catégories de trophées seront décernées à cette occasion. Il s'agit du trophée "Rebondir" pour le chef d'entreprise qui a connu un échec et qui a pu rebondir , du trophée "performance globale" pour l'entrepreneur de l'année, qui a entrepris des initiatives en matière de protection de l'environnement, d'engagement social ou humanitaire, du trophée ''jeune moins de 30 ans", du trophée ''champion à l'international'', du trophée ''responsabilité sociale'' et du trophée ''Innovation''.
dimanche 7 mars 2010
La bourse de Casablanca termine vendredi en hausse
Casablanca, 26/02/10- Les deux indices de la bourse de Casablanca, le Masi et le Madex, ont terminé la séance de vendredi en hausse, respectivement de +0,15 pc à 11.096,80 points et de +0,15 pc à 9.017,72 points.
Les performances annuelles des deux indices de la place financière atteignent, à l'issue de cette séance, une progression de 6,25 pc et de 6,54 pc.
La séance de vendredi a enregistré un total de 990 transactions ayant permis l'échange de 387.612 titres pour un volume global de la séance de plus de 280,1 millions de dirhams, dont plus de 166,3 millions de dhs réalisés sur le marché de blocs.
La capitalisation boursière s'est fixée, quant à elle, à plus de 540,8 milliards de dirhams.
Les plus fortes hausses ont été enregistrées par Maghreb Oxygène (+5,98 pc à 232,20 DH) Zellidja S.A (+5,94 pc à 1070 DH), Oulmès (+5,56 pc à 570 DH) et Cartier Saada (+4 pc à 17,68 DH).
Les plus fortes baisses ont été affichées par Risma (-5,99 pc à 227,50 DH) M2M Group (-4,56 pc à 607 DH), Berliet Maroc (-4,16 pc à 272,15 DH) et Mediaco Maroc (-4,13 pc à 174 DH).
vendredi 15 janvier 2010
Agadir: La convention-cadre sur les projets intégrés en matière d'eau et d'environnement au centre d'une réunion
06/01/10 - La mise en oeuvre de la convention-cadre de partenariat, signée le 14 avril 2009 à Fès devant SM le Roi Mohammed VI, pour la réalisation des projets intégrés dans les secteurs de l'eau et de l'environnement dans la région de Souss-Massa-Draâ a été au centre d'une réunion tenue mardi à Agadir.
La réunion a été une occasion pour examiner l'état d'avancement des conventions thématiques relatives à la préservation des ressources naturelles et au développement des ressources hydriques dans les différentes préfectures et provinces de la région.
S'exprimant à cette occasion, le secrétaire d'Etat chargé de l'Eau et de l'Environnement, M. Abdelkebir Zahoud a souligné l'importance des projets lancés dans le cadre de la convention-cadre, indiquant que 2010 sera l'année de départ de l'exécution de cette convention.
M. Zahoud a appelé, à ce titre, à la mobilisation de tous les intervenants afin de réussir le chantier de mise à niveau environnementale de la région considérée comme leader en matière de gestion des ressources hydriques.
Pour sa part, le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch a relevé l'existence de 21.000 tonnes de déchets plastiques agricoles et de "déchets verts" dans la région, mettant l'accent sur la nécessité de moderniser les moyens de leur gestion.
Il a précisé, dans ce cadre, que la région de Souss-Massa-Draâ lancera un projet pilote en matière de gestion des déchets plastiques agricoles.
De son côté, le Wali de Souss-Massa-Draâ, gouverneur d'Agadir-Iddaoutanane, M. Rachid Filali a souligné l'importance de la mise en oeuvre de cette convention pour la région qui s'engage à protéger l'environnement et à préserver ses ressources hydriques.
Cette réunion, qui s'est déroulée en présence des gouverneurs de la région Souss-Massa-Draâ, a été marquée par la présentation de deux exposés sur les conventions thématiques de partenariat pour la réalisation de projets intégrés dans les secteurs de l'eau et de l'environnement et sur les films plastiques agricoles.
La réunion a été une occasion pour examiner l'état d'avancement des conventions thématiques relatives à la préservation des ressources naturelles et au développement des ressources hydriques dans les différentes préfectures et provinces de la région.
S'exprimant à cette occasion, le secrétaire d'Etat chargé de l'Eau et de l'Environnement, M. Abdelkebir Zahoud a souligné l'importance des projets lancés dans le cadre de la convention-cadre, indiquant que 2010 sera l'année de départ de l'exécution de cette convention.
M. Zahoud a appelé, à ce titre, à la mobilisation de tous les intervenants afin de réussir le chantier de mise à niveau environnementale de la région considérée comme leader en matière de gestion des ressources hydriques.
Pour sa part, le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch a relevé l'existence de 21.000 tonnes de déchets plastiques agricoles et de "déchets verts" dans la région, mettant l'accent sur la nécessité de moderniser les moyens de leur gestion.
Il a précisé, dans ce cadre, que la région de Souss-Massa-Draâ lancera un projet pilote en matière de gestion des déchets plastiques agricoles.
De son côté, le Wali de Souss-Massa-Draâ, gouverneur d'Agadir-Iddaoutanane, M. Rachid Filali a souligné l'importance de la mise en oeuvre de cette convention pour la région qui s'engage à protéger l'environnement et à préserver ses ressources hydriques.
Cette réunion, qui s'est déroulée en présence des gouverneurs de la région Souss-Massa-Draâ, a été marquée par la présentation de deux exposés sur les conventions thématiques de partenariat pour la réalisation de projets intégrés dans les secteurs de l'eau et de l'environnement et sur les films plastiques agricoles.
jeudi 14 janvier 2010
L'Impôt sur les sociétés n'est pas un frein pour le logement social, selon M. Mezouar
La contribution des promoteurs immobiliers à l'Impôt sur les sociétés (IS) n'est pas de nature à les dissuader de réaliser le logement social, a souligné le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar.
Dans une interview publiée mardi par le quotidien +Le Soir Echos+, M. Mezouar a affirmé que face à la batterie d'exonérations dont bénéficie le logement social, notamment au niveau de la TVA et des droits d'enregistrement, "les opérateurs devraient au moins contribuer au titre de l'IS".
"Je ne crois pas qu'une charge qui varie entre 5.000 et 7.000 DH par appartement est de nature à dissuader les promoteurs immobiliers de réaliser du logement social", a-t-il dit.
Le ministre a rappelé, à ce titre, que suite à des réunions avec des opérateurs ayant relevé l'impact de la hausse des prix du foncier sur le ralentissement de leur activité, "une décision a été prise d'allouer 4.000 ha de foncier public pour que l'Etat supporte le surplus de charge à la place du promoteur".
Il a toutefois fait observer que des promoteurs ont commencé à commercialiser des logements sociaux à 300.000 voire 350.000 dirhams, en dehors des conventions signées avec l'Etat, d'où la doléance de relever le plafond de ces conventions au-delà de 200.000 dirhams.
Le ministre a estimé, à cet égard, que ce niveau (200.000 dirhams) correspond au pouvoir d'achat de la population cible du logement social.
Pour ce qui est des incitations fiscales qui seront consenties dans la loi de finances 2010, le ministre a indiqué que le contexte actuel n'empêchera pas l'Etat de continuer à soutenir l'activité économique par des mesures fiscales, en vue de contribuer à améliorer la compétitivité et soutenir l'investissement.
M. Mezouar a également affirmé que l'attention est focalisée actuellement sur le dossier de la TVA, l'objectif étant d'étudier les combinaisons optimales pour poursuivre la réforme de cet impôt.
"Cela passe naturellement par l'élargissement de son assiette. En parallèle, nous devons préparer la réduction du taux de base de la TVA de 20 à 18 pc", a-t-il dit.
Dans une interview publiée mardi par le quotidien +Le Soir Echos+, M. Mezouar a affirmé que face à la batterie d'exonérations dont bénéficie le logement social, notamment au niveau de la TVA et des droits d'enregistrement, "les opérateurs devraient au moins contribuer au titre de l'IS".
"Je ne crois pas qu'une charge qui varie entre 5.000 et 7.000 DH par appartement est de nature à dissuader les promoteurs immobiliers de réaliser du logement social", a-t-il dit.
Le ministre a rappelé, à ce titre, que suite à des réunions avec des opérateurs ayant relevé l'impact de la hausse des prix du foncier sur le ralentissement de leur activité, "une décision a été prise d'allouer 4.000 ha de foncier public pour que l'Etat supporte le surplus de charge à la place du promoteur".
Il a toutefois fait observer que des promoteurs ont commencé à commercialiser des logements sociaux à 300.000 voire 350.000 dirhams, en dehors des conventions signées avec l'Etat, d'où la doléance de relever le plafond de ces conventions au-delà de 200.000 dirhams.
Le ministre a estimé, à cet égard, que ce niveau (200.000 dirhams) correspond au pouvoir d'achat de la population cible du logement social.
Pour ce qui est des incitations fiscales qui seront consenties dans la loi de finances 2010, le ministre a indiqué que le contexte actuel n'empêchera pas l'Etat de continuer à soutenir l'activité économique par des mesures fiscales, en vue de contribuer à améliorer la compétitivité et soutenir l'investissement.
M. Mezouar a également affirmé que l'attention est focalisée actuellement sur le dossier de la TVA, l'objectif étant d'étudier les combinaisons optimales pour poursuivre la réforme de cet impôt.
"Cela passe naturellement par l'élargissement de son assiette. En parallèle, nous devons préparer la réduction du taux de base de la TVA de 20 à 18 pc", a-t-il dit.
vendredi 21 août 2009
A study shows Morocco 3rd best destination of FDIs in Africa
London - Morocco was placed in the third place as the best destination of foreign direct investments in Africa over 2009-2010 thanks in particular to its good results in the areas of infrastructures, FDIs strategy and economic potential, according to a study by fDi Intelligence.
The kingdom came behind South Africa and Egypt.
The "African countries of the future 2009-2010" was prepared by a panel of independent experts on the basis of data covering 59 countries.
It analyses the situation in these countries, taking into consideration the results achieved in such areas as the economic potential, human resources, living standards, infrastructures, the economic potential and the investment strategy.
fDi Intelligence is a specialist Division from the Financial Times Ltd, which provides investors with independent data to help them make informed decisions regarding foreign direct investment.
The kingdom came behind South Africa and Egypt.
The "African countries of the future 2009-2010" was prepared by a panel of independent experts on the basis of data covering 59 countries.
It analyses the situation in these countries, taking into consideration the results achieved in such areas as the economic potential, human resources, living standards, infrastructures, the economic potential and the investment strategy.
fDi Intelligence is a specialist Division from the Financial Times Ltd, which provides investors with independent data to help them make informed decisions regarding foreign direct investment.
samedi 25 avril 2009
le Maroc enregistre un record avec une récolte de blé de 102 millions de quintaux.
Cette année, le Maroc enregistre un record avec une récolte de blé de 102 millions de quintaux. Plusieurs conventions et contrats-programmes ont été signés lors de la deuxième édition des Assises nationales de l’agriculture.
La deuxième édition des Assises nationales de l’agriculture s’est ouverte, mardi 21 avril, à Meknès, avec une bonne nouvelle qui a donné du baume au cœur des agriculteurs, petits et grands. «Le ciel -grâces en soient rendues à Dieu- nous a gratifiés cette année de pluies bienfaitrices aussi abondantes que bien réparties, conférant toute sa pertinence au label Maroc Vert. Tout ceci augure d’une production agricole record qui contribuera, si Dieu le veut, à accroître notre PIB et à renforcer nos capacités pour transcender les effets pervers de la crise économique mondiale», a souligné SM le Roi Mohammed VI dans un message adressé aux participants et lu par Mohamed Moatassim, conseiller du Souverain. Ainsi, le pays va connaître une année record avec une récolte de blé de 102 millions de quintaux. Cette édition des Assises nationales de l’agriculture a été aussi l’occasion pour Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, de faire le point sur le Plan Maroc Vert. «Pour le Plan Maroc Vert, il y a aujourd’hui entre 15 ou 20 chantiers en cours de finalisation pour les deux piliers de ce programme. Les travaux avancent à un rythme soutenu. Le Plan Maroc Vert a été décliné en plans régionaux. D’ailleurs, ce Plan ne peut donner ses fruits si et seulement si il est adapté à chaque région du pays», a souligné M. Akhannouch. «Le secteur bancaire et financier marocain est également en position de force avec de grandes banques comme le Crédit Agricole du Maroc, Attijariwafa bank et la Banque Populaire qui ont des stratégies de financement du Plan Maroc Vert. A ce financement national, il faut ajouter d’importants bailleurs de fonds internationaux (AFD, GEF, MCA, USAID…) qui contribueront par ailleurs au financement de cet important projet du Royaume», a ajouté M. Akhannouch. Ces Assises ont été aussi marquées par la signature de plusieurs conventions. Ainsi, le Fonds international du développement agricole s’est engagé à financer le Plan Maroc Vert avec 8 millions de dollars par an sur 10 ans pour la période 2009-2015. Pour sa part, l’Agence française du développement contribuera à hauteur de 50 millions d’euros pour la reconversion des plantations dans la région de Tanger. Pour les banques nationales, Attijariwafa bank a signé un engagement de 25 milliards de dirhams pour l’accompagnement bancaire des acteurs agricoles et agro-industriels 2009-2013. La BCP quant à elle accompagnera le Plan Maroc Vert avec 20 milliards de dirhams pour la période 2009-2013. Pour le Crédit Agricole du Maroc, il s’agit de la création du Fonds de stabilisation prudentielle pour l’accompagnement de la SFDA avec une définition d’une première liste de projets prioritaires pour la SFDA. Avec la fédération des viandes rouges, le gouvernement a signé un contrat-programme avec un investissement de 7 à 10 milliards. Avec les professionnels du blé, le contrat-programme porte sur un investissement de 3,1 milliards de dirhams par an. Pour la fédération de l’olivier, il est question de plantation de 1,2 million d'hectares en 2020. La filière maraîchère de primeurs bénéficiera d’un investissement global de 21 milliards de dirhams dont 3 milliards de dirhams financés par l’Etat. Avec la fédération du lait, le contrat programme concerne la création de 20 à 30 fermes et 3 nouvelles unités de transformation du lait avec un investissement de 12 milliards de dirhams dont 2 milliards de dirhams débloqués par l’Etat. Idem avec la fédération de production de semences, l’investissement est de 765 millions de dirhams dont 252 millions de dirhams financés par l'Etat. S’agissant de l’Agence du développement agricole (ADA), elle a signé des conventions pour la mise en place de projets d’agrégation avec Lesieur, Aicha, la BCP et groupe Tanmia Filahia.
DNES à Meknès Atika Haimoud
Aujorudhui.ma
La deuxième édition des Assises nationales de l’agriculture s’est ouverte, mardi 21 avril, à Meknès, avec une bonne nouvelle qui a donné du baume au cœur des agriculteurs, petits et grands. «Le ciel -grâces en soient rendues à Dieu- nous a gratifiés cette année de pluies bienfaitrices aussi abondantes que bien réparties, conférant toute sa pertinence au label Maroc Vert. Tout ceci augure d’une production agricole record qui contribuera, si Dieu le veut, à accroître notre PIB et à renforcer nos capacités pour transcender les effets pervers de la crise économique mondiale», a souligné SM le Roi Mohammed VI dans un message adressé aux participants et lu par Mohamed Moatassim, conseiller du Souverain. Ainsi, le pays va connaître une année record avec une récolte de blé de 102 millions de quintaux. Cette édition des Assises nationales de l’agriculture a été aussi l’occasion pour Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, de faire le point sur le Plan Maroc Vert. «Pour le Plan Maroc Vert, il y a aujourd’hui entre 15 ou 20 chantiers en cours de finalisation pour les deux piliers de ce programme. Les travaux avancent à un rythme soutenu. Le Plan Maroc Vert a été décliné en plans régionaux. D’ailleurs, ce Plan ne peut donner ses fruits si et seulement si il est adapté à chaque région du pays», a souligné M. Akhannouch. «Le secteur bancaire et financier marocain est également en position de force avec de grandes banques comme le Crédit Agricole du Maroc, Attijariwafa bank et la Banque Populaire qui ont des stratégies de financement du Plan Maroc Vert. A ce financement national, il faut ajouter d’importants bailleurs de fonds internationaux (AFD, GEF, MCA, USAID…) qui contribueront par ailleurs au financement de cet important projet du Royaume», a ajouté M. Akhannouch. Ces Assises ont été aussi marquées par la signature de plusieurs conventions. Ainsi, le Fonds international du développement agricole s’est engagé à financer le Plan Maroc Vert avec 8 millions de dollars par an sur 10 ans pour la période 2009-2015. Pour sa part, l’Agence française du développement contribuera à hauteur de 50 millions d’euros pour la reconversion des plantations dans la région de Tanger. Pour les banques nationales, Attijariwafa bank a signé un engagement de 25 milliards de dirhams pour l’accompagnement bancaire des acteurs agricoles et agro-industriels 2009-2013. La BCP quant à elle accompagnera le Plan Maroc Vert avec 20 milliards de dirhams pour la période 2009-2013. Pour le Crédit Agricole du Maroc, il s’agit de la création du Fonds de stabilisation prudentielle pour l’accompagnement de la SFDA avec une définition d’une première liste de projets prioritaires pour la SFDA. Avec la fédération des viandes rouges, le gouvernement a signé un contrat-programme avec un investissement de 7 à 10 milliards. Avec les professionnels du blé, le contrat-programme porte sur un investissement de 3,1 milliards de dirhams par an. Pour la fédération de l’olivier, il est question de plantation de 1,2 million d'hectares en 2020. La filière maraîchère de primeurs bénéficiera d’un investissement global de 21 milliards de dirhams dont 3 milliards de dirhams financés par l’Etat. Avec la fédération du lait, le contrat programme concerne la création de 20 à 30 fermes et 3 nouvelles unités de transformation du lait avec un investissement de 12 milliards de dirhams dont 2 milliards de dirhams débloqués par l’Etat. Idem avec la fédération de production de semences, l’investissement est de 765 millions de dirhams dont 252 millions de dirhams financés par l'Etat. S’agissant de l’Agence du développement agricole (ADA), elle a signé des conventions pour la mise en place de projets d’agrégation avec Lesieur, Aicha, la BCP et groupe Tanmia Filahia.
DNES à Meknès Atika Haimoud
Aujorudhui.ma
dimanche 19 avril 2009
Le Maroc met en œuvre une nouvelle approche du partenariat Sud-Sud

SM la Roi Mohammed VI a entamé, jeudi, une visite officielle en République de Guinée Equatoriale. Une visite qui s’inscrit dans le cadre de la nouvelle stratégie du Maroc visant à développer le partenariat avec les pays africains.
La visite officielle qu'a entamé, jeudi, SM le Roi Mohammed VI en République de Guinée Equatoriale, s'inscrit en droite ligne de la nouvelle stratégie du Maroc, conduite depuis quelques années, visant à développer un partenariat tous azimuts avec les pays africains, suivant une approche et une philosophie nouvelles de coopération Sud-Sud.
En effet, le Maroc a lancé une nouvelle forme de coopération avec ses partenaires africains, en mettant à leur disposition son savoir-faire et son expérience dans des secteurs qui constituent, à terme, une des clefs du développement de ces pays, notamment l'agriculture, mais aussi l'habitat, le transport, les infrastructures et la santé. Lors de ses tournées successives dans une dizaine de pays africains, SM le Roi avait, en effet, lancé et inauguré une série de projets socio-économiques ainsi que des campagnes de soins, impliquant notamment des équipes médicales des FAR, en faveur des couches défavorisées, suscitant ainsi la satisfaction des populations locales. Il s'agit en l'occurrence d'interventions multidimensionnelles, dont l'une des plus importantes a été la provocation des pluies, grâce à une expertise marocaine confirmée, dont les résultats ont été concluants.
Outre l'effacement des ardoises à l'égard du Maroc, en faveur de certains pays les plus endettés, annoncé lors d'un Sommet Afrique-UE au Caire, le Maroc avait décidé la création de La Fondation Alaouite pour le développement humain durable, avec siège à Dakar, dédiée au développement social et humain des pays africains amis, dont le premier projet retenu est la construction d'une clinique d'ophtalmologie à Dakar.
Ces multiples actions viennent en effet corroborer la nouvelle dimension imprimée par le Royaume à son partenariat avec les pays africains, et les nouvelles orientations de la politique africaine du Maroc. Cette coopération désintéressée, sincère et féconde, a produit des résultats tangibles et ouvert de très bonnes perspectives devant les opérateurs des deux pays, qui sont aujourd'hui engagés ensemble dans une série de chantiers dans les domaines de l'habitat, des transports, des banques. Elle traduit également le vœu du Maroc de faire de la coopération Sud-Sud non seulement un choix stratégique, mais une œuvre collective de développement. Les tournées effectuées ces dernières années par SM le Roi dans les pays africains, ont donné un sens concret à cet engagement, qui confère aux secteurs publics et privés des rôles complémentaires d'autant plus que le continent est désormais tourné vers l'investissement en tant que moyen pour pallier les déficits sociaux dont souffrent ses populations.
Les tournées Royales dans les pays d'Afrique ont été couronnées par la signature d'importants accords et conventions de coopération, dédiés à la réalisation de projets à caractère social et humain, outre les projets économiques dans le cadre d'un partenariat gagnant-gagnant entre les opérateurs économiques, particulièrement dans les secteurs d'activité où le Royaume dispose d'une expertise reconnue et qui offrent d'importantes marges de croissance, d'un côté comme de l'autre.
lundi 6 avril 2009
Des nouveaux taux au lieu des anciennes

Maroc : Le HCP prévoit un taux de croissance économique de 5,4% en 2008
Le Haut commissariat au plan (HCP) estime ,dans un communiqué rendu public lundi, que le taux de croissance de l'économie nationale du Maroc en 2008 à quelque 5,4% au lieu de 2,7% en 2007."Les résultats des comptes nationaux relatifs aux quatre trimestres de l'année 2008 montrent que l'économie nationale aurait été marquée par la réalisation d'un taux de croissance économique annuel avoisinant 5,4% au lieu de 2,7% en 2007", indique le HCP.Le HCP explique cette croissance par les hausses en volume enregistrées par la valeur ajoutée agricole (+11% contre -21%), la valeur ajoutée des secteurs non agricoles (+4,7% contre +6%) et des impôts nets des subventions sur les produits (+5,7% contre +10, 6%)Globalement, le PIB hors agriculture afficherait en 2008 un accroissement de 4,7 % au lieu de 6,6% en 2007, souligne le HCP, ajoutant que la croissance des secteurs non agricoles résulte principalement des évolutions en volume de la valeur ajoutée des activités relevant du secteur secondaire (+3,2% contre +6,6%) et du secteur tertiaire (+5% au lieu de +6,1% ).A prix courants, le PIB aurait affiché en 2008 une augmentation de 7,8% par rapport à l'année passée, soit une variation annuelle du niveau général des prix de près de 2,3%, estime le HCP qui précise que ces résultats, basés sur les comptes nationaux trimestriels, pourraient subir des changements lors de la production des comptes annuels en juin prochain.
Le Haut commissariat au plan (HCP) estime ,dans un communiqué rendu public lundi, que le taux de croissance de l'économie nationale du Maroc en 2008 à quelque 5,4% au lieu de 2,7% en 2007."Les résultats des comptes nationaux relatifs aux quatre trimestres de l'année 2008 montrent que l'économie nationale aurait été marquée par la réalisation d'un taux de croissance économique annuel avoisinant 5,4% au lieu de 2,7% en 2007", indique le HCP.Le HCP explique cette croissance par les hausses en volume enregistrées par la valeur ajoutée agricole (+11% contre -21%), la valeur ajoutée des secteurs non agricoles (+4,7% contre +6%) et des impôts nets des subventions sur les produits (+5,7% contre +10, 6%)Globalement, le PIB hors agriculture afficherait en 2008 un accroissement de 4,7 % au lieu de 6,6% en 2007, souligne le HCP, ajoutant que la croissance des secteurs non agricoles résulte principalement des évolutions en volume de la valeur ajoutée des activités relevant du secteur secondaire (+3,2% contre +6,6%) et du secteur tertiaire (+5% au lieu de +6,1% ).A prix courants, le PIB aurait affiché en 2008 une augmentation de 7,8% par rapport à l'année passée, soit une variation annuelle du niveau général des prix de près de 2,3%, estime le HCP qui précise que ces résultats, basés sur les comptes nationaux trimestriels, pourraient subir des changements lors de la production des comptes annuels en juin prochain.
mercredi 1 avril 2009
Elections communalesL’entreprise expose ses attentes aux partis politiques
· Cinq des huit partis ayant confirmé leur présence se sont absentés· Taxes, foncier, exclusion des appels d’offres des communes... les problèmes des PMEA l’approche des communales, le Centre des jeunes dirigeants (CJD) explore les facettes des politiques locales. En fin de semaine dernière, le centre a organisé une rencontre avec les partis politiques. Malheureusement, des huit partis politiques invités (MP, UC, PJD, USFP, PI, RNI, PPS, PAM), seuls trois ont répondu présent, en l’occurrence le MP, le PJD et le RNI. C’était une occasion pour les jeunes dirigeants d’exprimer leurs attentes face aux communes et pour les partis politiques de leur donner des réponses.Pour le chef de la section CJD de Marrakech, les communes doivent revoir leurs taxes vis-à-vis de l’entreprise. Pour ce jeune dirigeant, «la patente ainsi que la taxe des services communaux sont des impôts qui sont prélevés sur l’investissement et non sur le bénéfice. Du coup, ce genre d’impôts bloque l’initiative et l’entreprise». Le jeune dirigeant de Marrakech est encore plus sévère à l’égard des politiques: «Ces derniers ne s’occupent que de l’éclairage et des déchets, pour toute autre question, c’est à Rabat que se prennent les vraies décisions». Il doute même de la bonne volonté des élus. Selon le jeune entrepreneur, «si des gens se portent candidats aux communales, c’est uniquement parce qu’ils y trouvent un tremplin vers la Chambre des conseillers».L’autre problème qui bloque l’initiative des jeunes à investir, c’est le foncier. «Certes, il y a des zones industrielles mais inaccessibles aux jeunes entrepreneurs», affirme un membre du CJD. Et un autre membre d’ajouter, «pourquoi les communes ne mobilisent-elles pas leur foncier et en faire profiter l’investissement, essentiellement pour ces jeunes qui veulent créer de l’emploi et de la plus-value?». Les jeunes, en particulier de Marrakech, demandent aux décideurs de diversifier économiquement la ville. Une ville qui pour le moment n’a que « le tourisme et l’agroalimentaire. Nous voulons aussi une zone offshoring et d’autres niches économiquement rentables». Les jeunes dirigeants de Casablanca ont d’autres soucis. Les conseils locaux futurs doivent apporter des solutions. Il y a d’abord les zones industrielles qui depuis des dizaines d’années sont encore dans un état lamentable en termes de routes, d’assainissement, d’éclairage, de réseaux téléphoniques. «Si nos RH sont plus au moins confortables au sein de leurs entreprises, il faut aussi soigner l’environnement de l’entreprise pour qu’ils puissent avoir un environnement sain», estime un dirigeant de Casablanca. Les jeunes dirigeants citent l’exemple de la prestation du transport urbain qui est dans une anarchie totale. Il y a aussi l’absence d’espace de loisirs «où les employés pouvaient se défouler le temps d’un week-end». Et ce sont là des missions qui incombent à l’élu. De loin, la participation aux marchés publics de la commune est le plus grand défi des jeunes entrepreneurs. «Je suis une PME et je ne peux répondre à un appel d’offres car pour le faire il faut être référencé. D’où puis-je avoir cette référence si on ne me permet pas de soumissionner?», s’interroge un jeune dirigeant. Le parti MP compte mettre en œuvre des politiques locales nouvelles à même de résoudre certains des problèmes de jeunes dirigeants. D’ailleurs, celle qui a représenté ce parti dans le forum n’est autre qu’une jeune entrepreneur, elle aussi dirigeante d’entreprise. Pour cette dernière, «si les jeunes dirigeants veulent vraiment résoudre leurs problèmes, personne ne le fera mieux qu’eux. Il faut qu’ils investissent aussi le politique et ne pas laisser les autres décider pour eux». En ce qui concerne les marchés publics des communes, «ce ne sont pas les références qui comptent, moi j’ai les références et je perds les marchés parce que je ne corromps pas», dit-il. «C’est pourquoi je vous recommande d’adhérer au politique en vue de réformer de l’intérieur».Le RNI comme d’ailleurs le MP insistent sur la régionalisation. Chaque région doit initier son propre marketing territorial et créer ses propres richesses. Le parti appelle aussi à la mise en place d’un pacte «gagnant-gagnant» entre communes et entreprises. Celles-ci recrutent localement en contrepartie d’avantages fournis par les collectivités locales. Le PJD, quant à lui, veut concrètement réserver exclusivement aux PME une partie des marchés publics des communes. La seconde action pour le parti de la lampe est de rendre les processus d’adjudication des marchés plus transparents en diffusant toutes les informations. Tertio, mettre à la disposition des entreprises les plans de développement des communes. De cette façon, elles prendront leurs décisions à moyen et long termes en ayant une plus grande visibilité. In fine, le PJD veut mettre de l’ordre dans l’assiette foncière communale et éventuellement dégager le foncier à mettre à la disposition des entreprises. «Car pour le moment, aucune commune ne connaît avec précision son foncier. Il faut inventorier», insiste le représentant du parti.
Le CJD s’allie à la Mepi
La troisième édition du Forum politique, intitulé «place des entreprises dans les politiques locales», est initiée par le Centre des jeunes dirigeants avec l’Initiative de partenariat Moyen Orient (Mepi). Ce dernier organisme a été créé en 2002 et financé avec l’accord des partis du Congrès américain. Pour une période de 5 ans, le Mepi est doté de 430 millions de dollars en vue de mener des projets dans la région Mena dans les domaines de la formation, les conférences et les projets de développement. Ali JAFRY
Le RNI présente ses troupes· Le parti s’est réuni avec sa base dans le nordLe Rassemblement national des indépendants (RNI) a visiblement démarré sa campagne électorale sur les chapeaux de roues. Le parti s’est donné rendez-vous le week-end dernier avec sa base tangéroise lors d’un meeting. Pour montrer sa force, le RNI, présidé par Mustapha Mansouri, s’est fait épauler par ses stars, Salaheddine Mezouar, Amina Benkhadra, Anis Birrou entre autres figures connues du public parmi les ministres de l’actuel gouvernement. Le parti de la colombe a profité aussi de l’occasion pour présenter ses dernières recrues, Fawzi Chaâbi et Houcine Kerroumi. Le premier, fils du patron du groupe Ynna et président de l’arrondissement de Souissi à Rabat, s’est fait connaître par ses démêlés avec l’actuel président du Conseil de la ville de Rabat, Omar Bahraoui. Et c’est précisément cette commune que Mustapha Mansouri a en ligne de mire. Le RNI, malgré des résultats assez modestes lors des dernières législatives, entend bien prendre les principales métropoles du pays, Rabat et Tanger en priorité. «Nous sommes actuellement sur une phase ascendante et nous allons en profiter», a précisé Mansouri, lors d’un point de presse à la suite du meeting.Lors de son passage à Tanger, il n’a pas manqué de faire référence à un sujet sensible: les conséquences de la guerre du Rif. Pour Mansouri, il n’y a pas de raison pour que l’Espagne, très encline à embêter le Maroc, ne paie pas pour ses exactions contre les Rifains. «Lors de la guerre du Rif, l’Espagne a utilisé du gaz moutarde pour mater la résistance», explique Mansouri. Ses effets sont encore visibles, la région d’El Hoceima présente des niveaux record d’atteintes du cancer, rappelle-t-il. «Il serait légitime que l’Espagne, à l’image d’autres pays européens, admette sa responsabilité», avoue Mansouri qui affirme que «nous sommes en mesure de demander des comptes à l’Espagne». Ce dernier a annoncé que son parti est en train de préparer une étude dans ce sens et que des dossiers sont en train d’être montés.
Ali ABJIOU l'economiste
Le CJD s’allie à la Mepi
La troisième édition du Forum politique, intitulé «place des entreprises dans les politiques locales», est initiée par le Centre des jeunes dirigeants avec l’Initiative de partenariat Moyen Orient (Mepi). Ce dernier organisme a été créé en 2002 et financé avec l’accord des partis du Congrès américain. Pour une période de 5 ans, le Mepi est doté de 430 millions de dollars en vue de mener des projets dans la région Mena dans les domaines de la formation, les conférences et les projets de développement. Ali JAFRY
Le RNI présente ses troupes· Le parti s’est réuni avec sa base dans le nordLe Rassemblement national des indépendants (RNI) a visiblement démarré sa campagne électorale sur les chapeaux de roues. Le parti s’est donné rendez-vous le week-end dernier avec sa base tangéroise lors d’un meeting. Pour montrer sa force, le RNI, présidé par Mustapha Mansouri, s’est fait épauler par ses stars, Salaheddine Mezouar, Amina Benkhadra, Anis Birrou entre autres figures connues du public parmi les ministres de l’actuel gouvernement. Le parti de la colombe a profité aussi de l’occasion pour présenter ses dernières recrues, Fawzi Chaâbi et Houcine Kerroumi. Le premier, fils du patron du groupe Ynna et président de l’arrondissement de Souissi à Rabat, s’est fait connaître par ses démêlés avec l’actuel président du Conseil de la ville de Rabat, Omar Bahraoui. Et c’est précisément cette commune que Mustapha Mansouri a en ligne de mire. Le RNI, malgré des résultats assez modestes lors des dernières législatives, entend bien prendre les principales métropoles du pays, Rabat et Tanger en priorité. «Nous sommes actuellement sur une phase ascendante et nous allons en profiter», a précisé Mansouri, lors d’un point de presse à la suite du meeting.Lors de son passage à Tanger, il n’a pas manqué de faire référence à un sujet sensible: les conséquences de la guerre du Rif. Pour Mansouri, il n’y a pas de raison pour que l’Espagne, très encline à embêter le Maroc, ne paie pas pour ses exactions contre les Rifains. «Lors de la guerre du Rif, l’Espagne a utilisé du gaz moutarde pour mater la résistance», explique Mansouri. Ses effets sont encore visibles, la région d’El Hoceima présente des niveaux record d’atteintes du cancer, rappelle-t-il. «Il serait légitime que l’Espagne, à l’image d’autres pays européens, admette sa responsabilité», avoue Mansouri qui affirme que «nous sommes en mesure de demander des comptes à l’Espagne». Ce dernier a annoncé que son parti est en train de préparer une étude dans ce sens et que des dossiers sont en train d’être montés.
Ali ABJIOU l'economiste
mardi 24 mars 2009
Chargé de relations publiques
La mission principale du chargé de relations publiques est de promouvoir l’image de marque de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il met en place, développe et améliore des actions de promotion externe. Il organise et fait fonctionner la « vitrine » de l’entreprise. C’est une courroie de transmission avec l’environnement de cette dernière.
Description des tâches / conditions de travailOrganiser une exposition ou un colloque, programmer une campagne de promotion pour un film, lancer un nouveau produit… Les activités du chargé de relations publiques sont proches de celles de l’attaché de presse. Il doit convaincre, séduire et fidéliser le ou les publics ciblés (prescripteurs, administrations, fournisseurs, clients). Il est en relation constante avec les médias et rédige à leur intention des communiqués de presse, des dossiers ou des bulletins d’information. Il peut aussi être en relation avec des organismes publics ou parapublics, des milieux financiers, des pays étrangers, etc. Pour nourrir et affiner ses analyses, il a recours aux nouvelles techniques de communication (Internet, banques de données, téléconférences par satellite…). Ouverture d’esprit, rapidité et aisance dans les rapports humains sont absolument indispensables. Vous pouvez exercer cette fonction au sein du service intégré d’une entreprise ou d’une administration, ou bien dans une agence de conseil spécialisée en relations publiques. Dans tous les cas, sachez que les horaires sont chargés, souvent irréguliers et les déplacements fréquents. Disponibilité indispensable et obligation d’un carnet d’adresses très bien rempli.
Salaires / revenusSuivant qu’il travaille dans une institution publique ou dans une grande entreprise privée, le salaire mensuel d’un chargé de relations publiques débutant peut être estimé aux alentours de 2 000 €. Un responsable média en début de carrière gagne bien davantage : environ 3 500 € par mois.
Evolution professionnelleAprès quelques années d’expérience, le chargé de relations publiques peut évoluer vers des fonctions de responsable de communication, concevoir les campagnes de promotion et mettre en œuvre les moyens de leur réalisation. Il peut également se spécialiser dans un certain type de communication (publique, financière, événementielle…).
Etudes / formationsIUT, universités, écoles de commerce et instituts spécialisés dispensent de nombreuses formations dans le domaine de la communication et des relations publiques.Le niveau d’accès minimum à ce métier se situe de bac + 2 à bac + 4 :- DUT information communication, option communication d’entreprise, - BTS communication des entreprises,- licences professionnelles et masters en information et communication délivrés par de nombreuses universités : Lyon 2, 3, Paris 4, 5, 8, Nancy 2, etc.- diplômes d’IUP en information et communication,- diplômes et mastères spécialisés d’écoles supérieures de commerce,-diplôme du CELSA, du CFPJ entreprise.
Description des tâches / conditions de travailOrganiser une exposition ou un colloque, programmer une campagne de promotion pour un film, lancer un nouveau produit… Les activités du chargé de relations publiques sont proches de celles de l’attaché de presse. Il doit convaincre, séduire et fidéliser le ou les publics ciblés (prescripteurs, administrations, fournisseurs, clients). Il est en relation constante avec les médias et rédige à leur intention des communiqués de presse, des dossiers ou des bulletins d’information. Il peut aussi être en relation avec des organismes publics ou parapublics, des milieux financiers, des pays étrangers, etc. Pour nourrir et affiner ses analyses, il a recours aux nouvelles techniques de communication (Internet, banques de données, téléconférences par satellite…). Ouverture d’esprit, rapidité et aisance dans les rapports humains sont absolument indispensables. Vous pouvez exercer cette fonction au sein du service intégré d’une entreprise ou d’une administration, ou bien dans une agence de conseil spécialisée en relations publiques. Dans tous les cas, sachez que les horaires sont chargés, souvent irréguliers et les déplacements fréquents. Disponibilité indispensable et obligation d’un carnet d’adresses très bien rempli.
Salaires / revenusSuivant qu’il travaille dans une institution publique ou dans une grande entreprise privée, le salaire mensuel d’un chargé de relations publiques débutant peut être estimé aux alentours de 2 000 €. Un responsable média en début de carrière gagne bien davantage : environ 3 500 € par mois.
Evolution professionnelleAprès quelques années d’expérience, le chargé de relations publiques peut évoluer vers des fonctions de responsable de communication, concevoir les campagnes de promotion et mettre en œuvre les moyens de leur réalisation. Il peut également se spécialiser dans un certain type de communication (publique, financière, événementielle…).
Etudes / formationsIUT, universités, écoles de commerce et instituts spécialisés dispensent de nombreuses formations dans le domaine de la communication et des relations publiques.Le niveau d’accès minimum à ce métier se situe de bac + 2 à bac + 4 :- DUT information communication, option communication d’entreprise, - BTS communication des entreprises,- licences professionnelles et masters en information et communication délivrés par de nombreuses universités : Lyon 2, 3, Paris 4, 5, 8, Nancy 2, etc.- diplômes d’IUP en information et communication,- diplômes et mastères spécialisés d’écoles supérieures de commerce,-diplôme du CELSA, du CFPJ entreprise.
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