mardi 31 mars 2009

Cinq chrétiennes étrangères expulsées du Maroc pour prosélytisme


Cinq étrangères chrétiennes ont été expulsées dimanche du Maroc pour prosélytisme, a annoncé le ministère de l'Intérieur.


Dans un communiqué diffusé par l'agence MAP, il précise que ces personnes ont été interpellées samedi à Casablanca lors d'une réunion avec des Marocains musulmans.

Un haut responsable du ministère de l'Intérieur a précisé à l'Associated Press qu'il s'agissait de quatre Espagnoles et d'une Allemande et que les "cinq missionnaires" avaient été placées sur un bateau qui avait quitté Tanger à destination de l'Espagne.

"De nombreux supports de propagande évangélique ont été saisis sur les lieux de la réunion, dont des ouvrages et des cassettes vidéo en langue arabe ainsi que d’autres objets de culte", indiquait le communiqué du ministère de l’Intérieur.

Chrétiens et juifs pratiquent librement leur religion au Maroc mais il est interdit de tenter de convertir des musulmans à une autre religion. par: AP

mardi 24 mars 2009

Responsable de communication

PPE : site : bourseemploimaoc.com
Promouvoir l'image de l'entreprise
La communication a pour fonction de promouvoir une entreprise ou une organisation (collectivité locale, association, administration) en lui donnant une image cohérente. L'entreprise peut posséder un service de communication intégré, rattaché à la direction. Elle peut aussi sous-traiter une partie ou la totalité de sa communication à une agence de conseil en relations publiques ou à un " chargé de com " qui travaille en free-lance.En communication interne, le responsable a pour mission de développer une culture d'entreprise et de motiver les salariés. Pour les nouveaux venus, il élabore un livret d'accueil, organise et anime des séminaires d'intégration... À l'ensemble du personnel, il présente le projet d'entreprise défini par la direction. Il en explique les objectifs, favorise les débats sur les choix opérés. Lors d'événements particuliers (nouvelle législation sur le temps de travail, par exemple), il rédige une lettre pour accompagner les textes de loi et les propos de la direction. Enfin, il participe à l'élaboration du journal d'entreprise. La réalisation d'enquêtes, d'interviews, et la rédaction d'articles sont alors au programme. Il peut présenter par exemple un métier exercé dans l'entreprise à travers le portrait d'un salarié.En communication externe, le responsable cherche à promouvoir l'image de son entreprise auprès d'interlocuteurs extérieurs : presse, milieux financiers, fournisseurs, clients, consommateurs ou adhérents. Il étudie le public visé, ses opinions et ses comportements. Il analyse les activités et les produits de son entreprise, et évalue leur impact et leur notoriété. Campagnes publicitaires, visites, expositions, séminaires, développement d'une identité visuelle (logo) ou auditive (jingle)... les moyens à sa disposition pour valoriser la société et faire en sorte qu'elle soit immédiatement reconnue sont nombreux et variés.

Chargé de relations publiques

La mission principale du chargé de relations publiques est de promouvoir l’image de marque de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il met en place, développe et améliore des actions de promotion externe. Il organise et fait fonctionner la « vitrine » de l’entreprise. C’est une courroie de transmission avec l’environnement de cette dernière.
Description des tâches / conditions de travailOrganiser une exposition ou un colloque, programmer une campagne de promotion pour un film, lancer un nouveau produit… Les activités du chargé de relations publiques sont proches de celles de l’attaché de presse. Il doit convaincre, séduire et fidéliser le ou les publics ciblés (prescripteurs, administrations, fournisseurs, clients). Il est en relation constante avec les médias et rédige à leur intention des communiqués de presse, des dossiers ou des bulletins d’information. Il peut aussi être en relation avec des organismes publics ou parapublics, des milieux financiers, des pays étrangers, etc. Pour nourrir et affiner ses analyses, il a recours aux nouvelles techniques de communication (Internet, banques de données, téléconférences par satellite…). Ouverture d’esprit, rapidité et aisance dans les rapports humains sont absolument indispensables. Vous pouvez exercer cette fonction au sein du service intégré d’une entreprise ou d’une administration, ou bien dans une agence de conseil spécialisée en relations publiques. Dans tous les cas, sachez que les horaires sont chargés, souvent irréguliers et les déplacements fréquents. Disponibilité indispensable et obligation d’un carnet d’adresses très bien rempli.
Salaires / revenusSuivant qu’il travaille dans une institution publique ou dans une grande entreprise privée, le salaire mensuel d’un chargé de relations publiques débutant peut être estimé aux alentours de 2 000 €. Un responsable média en début de carrière gagne bien davantage : environ 3 500 € par mois.
Evolution professionnelleAprès quelques années d’expérience, le chargé de relations publiques peut évoluer vers des fonctions de responsable de communication, concevoir les campagnes de promotion et mettre en œuvre les moyens de leur réalisation. Il peut également se spécialiser dans un certain type de communication (publique, financière, événementielle…).
Etudes / formationsIUT, universités, écoles de commerce et instituts spécialisés dispensent de nombreuses formations dans le domaine de la communication et des relations publiques.Le niveau d’accès minimum à ce métier se situe de bac + 2 à bac + 4 :- DUT information communication, option communication d’entreprise, - BTS communication des entreprises,- licences professionnelles et masters en information et communication délivrés par de nombreuses universités : Lyon 2, 3, Paris 4, 5, 8, Nancy 2, etc.- diplômes d’IUP en information et communication,- diplômes et mastères spécialisés d’écoles supérieures de commerce,-diplôme du CELSA, du CFPJ entreprise.

Responsable de communication






Mettre en valeur une idée-force, valoriser l'image de l'entreprise ou affirmer son identité, telles sont les compétences et le rôle du responsable de communication appelé aussi chargé de communication. Le responsable de communication est le garant de la cohérence de l'image de l'établissement.
Description des tâches / conditions de travail
Dans les grandes entreprise il existe souvent un service de communication. A sa tête, le responsable définit et met en œuvre la politique ou les projets de communication fixés par la direction de l'établissement. Le responsable de communication supervise la rédaction de communiqués et dossiers de presse. Il choisit et conçoit les supports de communication et étudie les moyens de réalisation : panneaux, scénarios de films, cédéroms, articles de revue, documents pédagogiques, pages web...
Il veille à la relance des journalistes et supports presse (écrite, radio, TV, Internet) lorsque des opérations sont organisées afin que le nom de l’entreprise soit diffusé au maximum. Le responsable de communication s’occupe aussi de l’organisation de manifestations qu’elles soient destinées à des clients, collaborateurs ou au personnel même de l’entreprise. Il met tout en œuvre pour que salons, conférences de presse, cocktails se déroulent dans les meilleurs conditions possibles et qu’à chacune de ces occasions l’entreprise apparaisse sous son meilleur jour.
Le responsable de communication est une personne qui doit être avenante et douée pour les relations publiques.
Salaires / revenusLa diversité des salaires est considérable et reflète la diversité des entreprises. Entre 1 600 € et 2 500 € brut par mois. Dans les entreprises de plus de 500 salariés, la fourchette oscille entre 2 500 € et 4 500 €.
Evolution professionnelleLa taille de l’entreprise détermine pour beaucoup l’exercice de la fonction du responsable de communication. Dans une petite structure il sera plus polyvalent, ce qui représente un avantage pour cerner tous les rouages du métier. Cependant, les responsabilités y sont vite limitées et le chargé de communication peut choisir d’évoluer vers des structures plus importantes et devenir directeur de la communication. Selon les agences dans lesquelles ils travaillent, les conseillers sont salariés, travailleurs indépendants ou associés.
Etudes / formations
Pour être recruté en temps que responsable de communication un niveau master (bac + 5) est indispensable। Les formations recommandées sont les sciences de l'information, de la communication, mais aussi le droit, les sciences économiques, les sciences politiques (IEP)…Masters professionnels en communication à titre d'exemple :- Communication d'entreprise : Grenoble 3, Paris 3- Communications des entreprises et des institutions : Celsa, Paris4- Communication des organisations : Lyon 2- Communication interne et externe des entrprises : Lille 3- Administration et gestion de la communication : Toulouse 1A noter le CELSA Ecole des hautes études en sciences de l'information et de la communication grande école au sein de Paris 4 propose un cursus complet en matière de communication et recrute sur concours.Ecoles d’ingénieurs ou école de commerce complétées par une spécialisation en communication peuvent aussi déboucher sur un métier de responsable de communication.

jeudi 19 mars 2009

Maroc VS Gabon:liste finale de Roger Lemerre de 24 joueurs



Par klikmaroc, jeudi 19 mars 2009 :
L'entraîneur de l'équipe nationale de football Mr Roger Le Merre a sélectionné Aujourd'hui sa derniere formation de 24 joueurs qui va jouer le prochain match contre le Gabon 28 Mars prochain comptant pour les qualifications mixtes pour la coupe du monde 2010 Afrique du Sud et la CAN Angola 2010.
Cette liste avait l'absence de Noreddine Boukhari,Moncef Zerka,Youssef Akchaoui et du blessé Michel Bassir. Voici la liste complète des 24 joueurs:
Gardien de But:(K.Fegrouch-WAC) -Karim Zaza(Alborg)- Ibrahim Zairi(Den Bosh).
Abdesslam.Waddou(Nancy)- Lamine Rbati(Wahda)-Talal Karkori-Alahmadi-Harmach-Chamsseddine Laaraychi-Nabil Zhar--Badr Kadouri-Hassan el Moataz.
Milieu:Yossef Sefri-Lhoussine Kharja--Adil Marouane Zemama-Kamal Chafni-Adil Taarabt-Youssef Hadji nancy-Mobarak Boussofa-Nabil Derar.
Defense:Monir El hamdaoui (AZ alkmar)--Nabil Baha(malaga)-Tarik Sektiwi(porto)-Maouan Chamakh(bordeau)

S.M. Mohammed VI et S.M. Abdallah II donnent une nouvelle et forte impulsionPar: admin le Mardi, mars 17, 2009


A l’issue de la visite à Fès du Souverain hachémite et de leurs entretiens en tête-à-têteS.M. Mohammed VI et S.M. Abdallah II donnent une nouvelle et forte impulsionS.M. le Roi offre un dîner familial en l’honneur de son illustre hôte Les deux Souverains réitèrent leur ferme soutien au droit du peuple palestinien à un État indépendant
A l’issue de la visite à Fès du Souverain hachémite et de leurs entretiens en tête-à-tête,S.M. Mohammed VI et S.M. Abdallah II donnent une nouvelle et forte impulsion.
S.M. le Roi offre un dîner familial en l’honneur de son illustre hôte Les deux Souverains réitèrent leur ferme soutien au droit du peuple palestinien à un État indépendant.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et S.M. le Roi Abdallah II de Jordanie, ont exprimé leur profonde satisfaction du rythme de développement fructueux impulsé à la coopération bilatérale pour la réalisation de leurs aspirations à l’édification de relations stratégiques complémentaires entre les deux pays frères, en consécration de la Haute sollicitude dont ils entourent cette coopération.
Dans un communiqué conjoint rendu public, lundi, au terme de la visite de travail effectuée au Maroc par S.M. le Roi AbdallahII et S.M. la Reine Rania à l’invitation de Sa Majesté le Roi MohammedVI, les Souverains des deux pays ont salué les importants pas franchis, sur leurs Hautes orientations, pour atteindre cet objectif. Les deux Souverains ont réitéré, à cette occasion, leur Haute décision visant à approfondir ces relations, à élargir leurs perspectives et à diversifier leurs domaines d’action en vue de parvenir à la complémentarité escomptée, indique le communiqué.
Les deux Souverains ont exprimé leur satisfaction des résultats obtenus dans le but de transcender les difficultés qui entravent le flux normal des investissements, des marchandises et des services entre les deux pays, afin de tirer profit des possibilités qu’offre l’Accord d’Agadir pour l’instauration d’une zone de libre-échange arabo-méditerranéenne, en considération des perspectives qu’elle ouvre pour la réalisation du partenariat et de la complémentarité au niveau euro-méditerranéen, souligne le document.Ils ont de même accueilli favorablement la constitution d’un groupe de travail conjoint chargé de la mise en place d’une vision globale pour renforcer le partenariat économique et multiplier les investissements communs.
Rappelons que S.M. le Roi accompagné de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de S.A.R. la Princesse Lalla Salma, a offert, dimanche au Palais Royal à Fès, un dîner familial en l’honneur de S.M. le Roi Abdallah II de Jordanie et de S.M. la Reine Rania Al Abdallah. A son arrivée, le Souverain hachémite, accompagné de S.M. la Reine Rania, a passé en revue un détachement de la Garde royale qui rendait les honneurs, avant d’être accueilli par Sa Majesté le Roi Mohammed VI qui était accompagné de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de S.A.R. la Princesse Lalla Salma. Ont été conviés à ce dîner Leurs Altesses Royales le Prince Talal Ben Mohammad, conseiller particulier du Roi de Jordanie, et la Princesse Ghaida Talal ainsi que Cherif Moulay Youssef. Au terme de ce dîner, S.M. le Roi Mohammed VI a pris congé de ses illustres hôtes
Lire le texte intégral du communiqué conjointVoici le texte intégral du communiqué conjoint maroco-jordanien rendu public, lundi, au terme de la visite de travail au Maroc de S.M. le Roi Abdallah II et de S.M. la Reine Rania Al Abdallah de Jordanie, à l’invitation de S.M. le Roi Mohammed VI :« En consécration des relations historiques et des liens civilisationnels, religieux et culturels solides existant entre le Royaume du Maroc et le Royaume Hachémite de Jordanie frère, ainsi que des liens de fraternité et de rapprochement liant les deux Souverains, les deux pays et peuples frères, Sa Majesté Hachémite, le Roi Abdallah II Ibn Al Hussein, Souverain du Royaume Hachémite de Jordanie, accompagné de S.M. la Reine Rania Al Abdallah, ont effectué, à l’invitation bénie de S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, une visite de travail dans le Royaume du Maroc les 15 et 16 mars 2009.
Cette visite bénie vient conforter la tradition de concertation et de coordination permanente entre les deux Souverains, qui s’est consacrée à travers les échanges de visites officielles entre Leurs Majestés. Partant de leurs aspirations à la réalisation de la complémentarité à tous les niveaux, à la faveur du consensus et de la concordance de vues caractérisant leurs relations solides, les deux Souverains ont passé en revue le processus fructueux de la coopération bilatérale et les grandes étapes que cette coopération a franchies au service de leurs intérêts communs. Les deuxSouverains ont réitéré, à cette occasion, leur haute décision visant à approfondir ces relations, à élargir leurs perspectives et à diversifier leurs domaines d’action en vue de parvenir à la complémentarité escomptée.En consécration de la Haute sollicitude dont ils entourent la coopération bilatérale, les deux Souverains ont exprimé leur profonde satisfaction du rythme de développement fructueux impulsé à cette coopération pour la réalisation de leurs aspirations à l’édification de relations stratégiques complémentaires entre les deux pays frères.
Ils ont salué, à ce propos, les importants pas franchis, sur leurs Hautes orientations, pour atteindre cet objectif.Les deux Souverains ont exprimé leur satisfaction des résultats obtenus dans le but de transcender les difficultés qui entravent le flux normal des investissements, des marchandises et des services entre les deux pays, afin de tirer profit des possibilités qu’offre l’Accord d’Agadir pour l’instauration d’une zone de libre-échange arabo-méditerranéenne, eu égard aux perspectives qu’elle ouvre pour la réalisation du partenariat et de la complémentarité au niveau euro-méditerranéen.Ils ont de même accueilli favorablement la constitution d’un groupe de travail conjoint chargé de la mise en place d’une vision globale pour renforcer le partenariat économique et multiplier les investissements communs.
Cette visite a été également l’occasion pour les deux Souverains d’évoquer, dans un climat empreint de consensus et de concordance de vues, un certain nombre de questions internationales et régionales d’intérêt commun et de passer en revue les développements que connaît la région arabe à la lumière des défis auxquels font face son unité et sa stabilité.
Partant de l’intérêt suprême qu’ils accordent à la juste cause du peuple palestinien militant, les deux Souverains ont réitéré leur soutien total au droit de ce peuple et de son Autorité nationale à l’établissement, sur le territoire national palestinien, de son Etat indépendant, viable politiquement, économiquement et socialement et disposant de ses ressources hydriques et naturelles, avecAl-Qods Acharif pour capitale.
Leurs Majestés ont vigoureusement dénoncé les violations israéliennes continues des droits du peuple palestinien désarmé, réaffirmant leur appel à la levée de toutes les formes de blocus dont il fait l’objet et au rejet total de la construction et de l’extension de colonies. Compte tenu de la Haute sollicitude dont Leurs Majestés entourent la ville d’Al-Qods Acharif, les deux Souverains ont réitéré leur détermination inébranlable et permanente à poursuivre la défense de la ville sainte et sa protection contre les tentatives israéliennes de la judaïser et d’altérer son cachet arabo-musulman, mettant l’accent sur la nécessité de la préserver, telle qu’elle le fut de tout temps, comme un espace de coexistence et de tolérance entre les trois religions monothéistes.
Les deux Souverains ont affirmé la nécessité de réactiver les négociations en vue de réaliser une paix globale et juste et établir un Etat palestinien indépendant, conformément aux chartes et conventions internationales et à l’Initiative arabede paix.
S.M. le Roi Mohammed VI et S.M. le Roi Abdallah II ont appelé à l’unité des rangs palestiniens à travers le recours au dialogue et en oeuvrant à asseoir l’entente et la réconciliation entre les différentes factions palestiniennes, sachant qu’une telle démarche renforce la position palestinienne et arabe dans les instances internationales, saluant à ce propos les efforts louables tendant à aboutir à cette fin. Ils ont exprimé leur souhait de voir ces efforts couronnés par un accord sur la formation d’un gouvernement palestinien d’entente, en prélude à l’organisation des prochaines élections législatives et présidentielle. Les deux Souverains se sont félicités des bons offices déployés pour le resserrement des rangs et l’assainissement du climat arabe, en vue de parvenir à une position arabe unifiée et cohérente à l’égard des échéances futures, de façon à mettre la Nation arabe à l’abri des causes de division et de divergence ».
Par MAP

lundi 16 mars 2009

A quel point arrive le recrutement au Maroc ?

C’est le thème du 4ème Colloque GRH au Maroc organisé par MCC à Casablanca le 8 novembre prochain à l’hôtel Sheraton.
Les objectifs de ce colloque visent à répondre aux questions suivantes :
Recrutement : quelles en sont les conditions de réussite ? Qui sont aujourd’hui les acteurs du recrutement qui déterminent ce marché ? Quelles sont les données chiffrées de ce secteur ? Quelles prospectives pour les prochaines années, au regard des perspectives économiques sans précédent que connaît le Maroc ? Quelles synergies entre les acteurs publics et privés, nationaux et internationaux ? Recrutement intégré/externalisé : quelles valeurs ajoutées ?
Cette journée s’adresse aux professionnels du recrutement et des politiques d’emploi au Maroc et à l’international. Elle vise à rassembler les professionnels suivants : Cabinets, DRH, Fonctionnaires en charge de l’emploi, Consultants, professionnels des ressources humaines, Formateurs, universités et grandes écoles...) ainsi qu’aux journalistes spécialisés dans les domaines de l’emploi et du recrutement.
L’occasion de ce colloque, un Répertoire du Recrutement au Maroc sera édité sous forme de cd-rom et diffusé à plus de deux mille exemplaires au Maroc et dans plusieurs pays.
Concept inédit, le colloque GRH au Maroc a été créé en 2004 par MRH France, FMP Maroc et MCC. Chaque année, le colloque GRH au Maroc aborde une thématique qui intéresse le développement de la fonction ressources humaines au Maroc. Le premier colloque GRH avait pour thème « Quarante ans de GRH au Maroc » présentant une exposition en sept tableaux résumant l'ensemble de la fonction. Le 2ème Colloque a porté sur le thème « DRH, Business Partenaire » et l’édition de l’année dernière a traité le sujet de l’Informatique sans frontières et les ressources humaines.
Des entreprises comme ONA, SIMENS, OCP, SAP, LMS ORH, Oracle, MAROC TELECOM, GROUPE MERCURE, MEDITEL, HRBC, ATLAS BLUE ont participé aux précédentes éditions du Colloque GRH au Maroc. Plus de deux cent entreprises marocaines y participent chaque année par: Driss FILALI

jeudi 12 mars 2009

Maroc : La RAM annonce son retrait d’Air Sénégal International




La compagnie aérienne Royal Air Maroc (RAM) vient d’annoncer son retrait d’Air Sénégal International (ASI) «au plus tard le 30 juin 2009». Une décision qui a été prise pour manque total de visibilité. Pour manque total de visibilité, la compagnie aérienne marocaine Royal Air Maroc (RAM) a décidé de se retirer d’Air Sénégal International (ASI). Cette décision a été prise lors de la dernière réunion du conseil d’administration des représentants de la RAM réuni, jeudi 26 février, au siège d’Air Sénégal International à Dakar. Au cours de ce conseil, qui a été marqué par l’absence des partenaires Sénégalais, «les représentants de la compagnie marocaine ont demandé à leurs partenaires de l’établissement immédiat d’une feuille de route portant sur le transfert d’Air sénégal International à l’Etat sénégalais dans les meilleures conditions et afin que le retrait de Royal Air Maroc soit effectif au plus tard le 30 juin 2009», lit-on dans un communiqué de presse de la RAM. Dans ce sens, Royal Air Maroc a averti que «dans le cas où une telle feuille de route ne serait pas mise sur pied, elle sera contrainte de procéder au processus du retrait de la gestion d’Air Sénégal International dès fin mars 2009», ajoute la même source.La RAM annonce son désengagement d’Air Sénégal international après neuf années de partenariat entre les deux organismes. En effet, le ministère sénégalais chargé des Transports aériens a annoncé en octobre 2007 sa décision unilatérale de modifier l’actionnariat de la compagnie afin que l’Etat du Sénégal dispose de la majorité ou de la totalité des actions d’Air Sénégal International, explique le communiqué. Afin de concrétiser cette décision, une commission mixte maroco-sénégalaise a été mise en place pour proposer les modalités de mise en œuvre de cette décision. «Malgré les annonces faites par l’autorité de tutelle confirmant la reprise par l’Etat sénégalais du capital et de la gestion d’Air Sénégal International au 31 décembre 2008, aucune action n’a été entreprise par la partie sénégalaise pour le remplacement des avions qui devaient être retournés au loueur en octobre 2008», a-t-il ajouté. La RAM indique que jusqu’à maintenant l’Etat sénégalais n’a toujours pas concrétisé son engagement de reprendre le capital et la gestion d’ASI. Une situation qui complique à la compagnie marocaine de continuer sa mission et avec un manque total de visibilité, aggravé la RAM a décidé de prendre une telle décision pour plusieurs raisons. Il s’agit d’abord de l’éviction «sans motif» et «sans préavis» d’Air Sénégal International du pèlerinage en 2008, en dépit de la convention accordant à cette compagnie l’exclusivité de dix ans pour le transport des pèlerins sénégalais à La Mecque. Cette dernière a été surprise par la décision des autorités sénégalaise de lui retirer cette opération pour la confier à la société Zam Zam. Ensuite, la RAM a demandé, à plusieurs reprises, la tenue du conseil d’administration d’ASI, pour examiner la situation de la compagnie. Des appels qui n’ont trouvé que la défection de la part de ses partenaires sénégalais. «Tous ces éléments pénalisent lourdement la gestion d’Air Sénégal International et entraînent un déficit chronique en trésorerie entièrement pris en charge par Royal Air Maroc», poursuit le communiqué. Et pour cela, la RAM réclame l’établissement «immédiat» d’une «feuille de route» pour que ce transfert de propriété et de gestion de la compagnie se concrétise «au plus tard le 30 juin 2009».Samira Yadine Aujourdhui.ma
Posté par infosdumaroc le 3/3/2009 13:36:44

Maroc : La RAM annonce son retrait d’Air Sénégal International



La compagnie aérienne Royal Air Maroc (RAM) vient d’annoncer son retrait d’Air Sénégal International (ASI) «au plus tard le 30 juin 2009». Une décision qui a été prise pour manque total de visibilité. Pour manque total de visibilité, la compagnie aérienne marocaine Royal Air Maroc (RAM) a décidé de se retirer d’Air Sénégal International (ASI). Cette décision a été prise lors de la dernière réunion du conseil d’administration des représentants de la RAM réuni, jeudi 26 février, au siège d’Air Sénégal International à Dakar. Au cours de ce conseil, qui a été marqué par l’absence des partenaires Sénégalais, «les représentants de la compagnie marocaine ont demandé à leurs partenaires de l’établissement immédiat d’une feuille de route portant sur le transfert d’Air sénégal International à l’Etat sénégalais dans les meilleures conditions et afin que le retrait de Royal Air Maroc soit effectif au plus tard le 30 juin 2009», lit-on dans un communiqué de presse de la RAM. Dans ce sens, Royal Air Maroc a averti que «dans le cas où une telle feuille de route ne serait pas mise sur pied, elle sera contrainte de procéder au processus du retrait de la gestion d’Air Sénégal International dès fin mars 2009», ajoute la même source.La RAM annonce son désengagement d’Air Sénégal international après neuf années de partenariat entre les deux organismes. En effet, le ministère sénégalais chargé des Transports aériens a annoncé en octobre 2007 sa décision unilatérale de modifier l’actionnariat de la compagnie afin que l’Etat du Sénégal dispose de la majorité ou de la totalité des actions d’Air Sénégal International, explique le communiqué. Afin de concrétiser cette décision, une commission mixte maroco-sénégalaise a été mise en place pour proposer les modalités de mise en œuvre de cette décision. «Malgré les annonces faites par l’autorité de tutelle confirmant la reprise par l’Etat sénégalais du capital et de la gestion d’Air Sénégal International au 31 décembre 2008, aucune action n’a été entreprise par la partie sénégalaise pour le remplacement des avions qui devaient être retournés au loueur en octobre 2008», a-t-il ajouté. La RAM indique que jusqu’à maintenant l’Etat sénégalais n’a toujours pas concrétisé son engagement de reprendre le capital et la gestion d’ASI. Une situation qui complique à la compagnie marocaine de continuer sa mission et avec un manque total de visibilité, aggravé la RAM a décidé de prendre une telle décision pour plusieurs raisons. Il s’agit d’abord de l’éviction «sans motif» et «sans préavis» d’Air Sénégal International du pèlerinage en 2008, en dépit de la convention accordant à cette compagnie l’exclusivité de dix ans pour le transport des pèlerins sénégalais à La Mecque. Cette dernière a été surprise par la décision des autorités sénégalaise de lui retirer cette opération pour la confier à la société Zam Zam. Ensuite, la RAM a demandé, à plusieurs reprises, la tenue du conseil d’administration d’ASI, pour examiner la situation de la compagnie. Des appels qui n’ont trouvé que la défection de la part de ses partenaires sénégalais. «Tous ces éléments pénalisent lourdement la gestion d’Air Sénégal International et entraînent un déficit chronique en trésorerie entièrement pris en charge par Royal Air Maroc», poursuit le communiqué. Et pour cela, la RAM réclame l’établissement «immédiat» d’une «feuille de route» pour que ce transfert de propriété et de gestion de la compagnie se concrétise «au plus tard le 30 juin 2009».Samira Yadine Aujourdhui.ma
Posté par infosdumaroc le 3/3/2009 13:36:44

auditeur interne au Maroc




L'auditeur était un inspecteur maniaque, à l'affût de la négligence marginale qu'il allait transformer en rapport destructif à la D.G. La méfiance était la règle entre l'auditeur et le service audité.M. Mohamed Oudedine analyse, suite à des enquêtes menées pour une recherche universitaire dirigée par le Pr. Mustapha El Baz, comment cette fonction est devenue plus ordinaire, intégrée à l'organisation de l'entreprise.L'AUDIT interne se développe au Maroc, et la fonction commence à conquérir son droit de cité dans tous les secteurs et, partant, donne lieu à des pratiques et à des perceptions diverses.Pour mieux situer et évaluer l'expérience marocaine en matière d'audit interne, nous avons effectué trois enquêtes dans trois directions. Nous nous sommes orientés vers l'entreprise, pour situer la place et le rôle de la fonction dans l'organisation, vers le secteur de l'enseignement supérieur, pour déterminer l'adéquation de la formation aux besoins actuels et potentiels de l'entreprise, vers l'audit externe, pour cerner les types de relations qu'entretiennent les deux partenaires, auditeurs internes et externes.Cependant, en raison de l'exhaustivité des informations et des données recueillies, nous n'évoquons ici que l'aspect qualitatif des résultats.En effet, l'analyse des résultats des trois enquêtes, nous a permis de dégager quelques tendances.La définition écrite de l'audit interne est une pratique fréquente.L'existence de procédures de travail au sein des départements audit interne n'est pas largement répandue. La mission d'audit s'inscrit en général dans le cadre d'un plan-programme approuvé au préalable par la Direction Générale. Les Directions opérationnelles de l'entreprise sont consultées au cours de l'élaboration du plan (d'une durée d'une année). Cependant, une fois approuvé, le plan ne fait pas l'objet d'une large diffusion. La pratique de la rédaction par le Département d'audit interne d'un rapport d'activité est largement utilisée.D'abord, la dénomination «Audit Interne» est largement adoptée sauf dans le secteur bancaire ou le vocable «Inspection» reste présent. En deuxième lieu l'audit interne est rattaché au plus haut niveau de la hiérarchie de l'entreprise. Cependant, le rattachement à la Direction Administrative et Financière est encore de mise. Ensuite, la forme prédominante de l'audit interne est comptable et financière. Par ailleurs, la sécurité reste sa principale préoccupation avec cependant une montée du conseil. Et, enfin, la fonction audit interne est distincte dans l'organisation, du contrôle de gestion avec lequel elle coopère largement.Historiquement, la fonction d'audit interne, en tout état de cause récente, a été créée principalement par la Direction Générale, à la suite du développement de l'activité de l'entreprise.Les objectifs initiaux en étaient les audits comptables, financiers, et l'audit des procédures. Depuis, un sensible élargissement s'est opéré vers l'audit opérationnel.L'audit informatique n'est pas assez généralisé dans les entreprises et est réalisé en partie par les auditeurs internes. Aussi, les auditeurs internes réalisent plus de missions d'audit de conformité et d'efficacité que des missions à caractère stratégique.Les auditeurs externes effectuent des tâches qui ne relèvent pas de l'audit interne, parmi lesquelles certaines sont en contradiction avec les normes (élaboration et mise en place de procédures, organisation...).
Les relations entre l'audit interne et externe.
Les auditeurs internes et externes entretiennent des relations qui ne sont pas toujours formalisées et se limitent en partie à un échange de documents et d'informations. Le recours à l'audit externe par les entreprises est dicté par la spécialisation des missions et la recherche des avis externes. Il existe parfois un comité d'audit.Il vise en premier lieu, la communication entre les organes et en second lieu, la coordination, le suivi du plan/programme, et le soutien du département audit interne.Les auditeurs externes accèdent au cours de leurs missions aux rapports rédigés antérieurement par les auditeurs internes. A la fin des missions, une réelle coordination s'installe entre les deux partenaires, en particulier pour le suivi des recommandations émises. Les auditeurs externes constatent une nette évolution de la fonction et du profil de l'auditeur interne. Par ailleurs, ils constatent un changement dans la perception de la fonction par les entreprises. Les exigences évoquées par les auditeurs externes pour un meilleur exercice de la fonction d'auditeur interne sont l'indépendance, l'autorité et le professionnalisme (normes pour la pratique de l'audit interne). Les cabinets d'audit estiment que l'enseignement de l'audit interne pourra améliorer le profil et les performances de l'auditeur. De même, ils formulent leur prédisposition à participer à cette action de formation. Formation et carrières
L'audit interne figure dans les programmes de formation universitaire. Les cours d'une moyenne de 30/60 heures se situent en majorité au niveau du stade de l'initiation. L'enseignement est assuré en grande partie par des praticiens de l'audit. Les établissements d'enseignement supérieur ne disposent pas d'option ou de filière dédiée à l'audit interne. A terme, cette situation ne connaîtra pas beaucoup de changement. Les travaux de recherche en matière d'audit interne sont peu développés et limités au stade de mémoires de second cycle. Les échanges entre les établissements et les autres organismes ou institutions en la matière sont peu fréquents.Par ailleurs, les établissements intègrent l'audit interne dans leurs programmes de formation continue. Les difficultés évoquées par ces établissements se situent d'une part, au niveau du corps professionnel et d'autre part, au niveau de la recherche (stages accès à l'information...). La pluridisciplinarité des équipes d'auditeurs internes n'est pas encore acquise. Le nombre de fonctions encore exclues du champs d'action de l'audit interne est important, notamment, le marketing, la gestion des ressources humaines, l'informatique...Les auditeurs sont en général de formation supérieure, recrutés à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise, bénéficiant d'actions de formation continue (5% à 20% du temps effectif). La politique de gestion des carrières des auditeurs internes vise aussi bien la constitution d'un noyau stable (au sein du département audit interne) qu'à la formation de cadres dirigeants qui après un passage de 2/4 ans à l'audit seront affectés à d'autres postes au sein de l'entreprise.Les entreprises ne disposant pas d'audit interne, ne prévoient pas en grande partie sa création en raison du rapport coût élevé/gain escompté ou de l'existence de la fonction au niveau de la maison mère. Par ailleurs, les créations en vue se feront en partie d'ici une à deux années.Les développements attendus de l'audit interne dans les années à venir se situent au niveau des domaines informatique, opérationnel et managérial. Les attentes des Directions Générales de l'audit interne, se situent au niveau de la sécurité et de l'assistance. C'est une évolution constante de la fonction dans sa forme d'intervention et dans son champ d'action. Un effort certain reste à faire au niveau de l'entreprise pour réduire l'écart qui existe par rapport aux normes de l'audit interne et élargir davantage l'action des auditeurs aux domaines réservés.Mohamed OUDEDINE . Sce:l'économiste comptafisc.com

lundi 9 mars 2009

l'economie du Maroc : le Maroc en mouvement

L'économie du Maroc évolue sur un rythme de croissance relativement rapide. Elle a enregistré durant les cinq dernières années un taux de croissance moyen de 5%. En effet, en 2001 et dans un contexte de contre performance du secteur agricole, de morosité de la conjoncture internationale, l'économie marocaine a enregistré un taux de croissance estimé à 6,5 % contre 1 % en 2000 , 3,2 % en 2002, 5,5 % en 2003 et plus que 8% en 2006
Les équilibres financiers sont progressivement restaurés. De 12% du produit intérieur brut (PIB) en 1982, le déficit budgétaire a été ramené à 2,7 en 2001 et à 3.5% en 2003.
L’inflation est maîtrisée : de 6,1% en 1995, la hausse des prix a été ramenée sous la barre des 3%. En 2000, elle a été contenue à 2,5%, à 1.4% en 2001, à 2.1% en 2002 , à 1.2 en 2003 et 1,5 en 2006.
La dette extérieure publique marocaine s'est établie à environ 13,6 milliards de dollars au terme de l'année 2006, enregistrant ainsi une légère baisse de 0,6%, alors que le taux d'endettement extérieur s'est amélioré de 2,3 points du PIB, pour passer à moins de 20%.
La reprise de l'investissement est également très nette dans le bilan de l’année 2003. Cette reprise a connu une hausse de 8% par rapport à 2002. Le lancement de grands travaux dans le secteur du bâtiment et travaux publics explique largement cette embellie des investissements.
Autre signe de consolidation macroéconomique, le niveau de l’épargne nationale qui se situe aux environs de 26% du PIB, grâce essentiellement à la progression des transferts des marocains résidents à l’étranger (4.7%), au maintien à un niveau élevé des placements des avoirs extérieurs à l’étranger et à la baisse des charges et intérêts de la dette extérieure publique.
Ainsi l’économie marocaine dispose d’un cadre macroéconomique sain susceptible de constituer un levier efficace pour la réalisation des objectifs de croissance durable, de résorption de chômage qui est de l'ordre de 9,6% sourseset de réduction de la pauvreté qui est de l'ordre de 10% sourses.
Le Maroc a eu la notation A4 par la Coface, et il améliore la perspective de sa notation pour sa dette à long terme en devises de «stable» à «positive», selon l'agence de notation Standard & Poor's de BB il passe a BB+ en avril 2007.

deplomatie :Le Maroc rejette la réaction iranienne

Le Maroc rejette vigoureusement les fondements et lles commentaires de la réaction des autorités iraniennes à sa décision souveraine de rompre ses relations diplomatiques avec l'Iran, a indiqué samedi le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.Le ministère a précisé dans un communiqué que : «le Maroc a pris note avec un vif étonnement de la réaction officielle des autorités iraniennes à la décision souveraine et légitime marocaine de rompre ses relations diplomatiques avec la République islamique d'Iran et rejette vigoureusement les fondements et les commentaires de cette réaction iranienne».«En faisant référence aux circonstances que traverse actuellement la Oumma islamique et en particulier à la question palestinienne, l'Iran fuit ses responsabilités et tente d'élargir un problème strictement bilatéral à des questions dont elle n'a ni le monopole, ni la légitimité exclusive», a ajouté le ministère. Le ministère a indiqué que «le contexte est totalement différent, le Maroc a réagi à l'attitude irrespectueuse de l'Iran à son égard et à son ingérence inadmissible dans les positions souveraines du Maroc, notamment lorsqu'il s'agit de défendre la légalité internationale et l'intégrité des Etats». «Toute tentative de l'Iran de nier ou d'esquiver sa responsabilité dans la détérioration des relations bilatérales n'est qu'un artifice inacceptable rejeté par le Royaume chérifien», a souligné le ministère ajoutant que «l'Iran doit assumer son entière responsabilité dans cette dégradation des rapports bilatéraux dont elle connaît parfaitement les origines». «Enfin, le Royaume du Maroc est, comme il l'a toujours été, au premier rang des défenseurs des intérêts et des causes de la Oumma islamique et de la question palestinienne. Il n'a donc aucune leçon à recevoir de quiconque sur ces questions, dont l'Iran ne peut en aucun cas se considérer le seul porte-parole», a conclu le ministère. Contacté hier par le Matin, Khalid Naciri, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, a souligné que la réaction de Téhéran est caractérisée par une attitude de fuite en avant. «Nous sommes également surpris de leur surprise et ils pouvaient s'attendre à la réaction ferme du Royaume», a tonné le ministre faisant allusion à la toute récente sortie des autorités iraniennes suite à la décision de Rabat de couper ses relations diplomatiques avec l'Iran. Naciri a indiqué que le Maroc a demandé des explications officielles lorsque le ministre des Affaires étrangères, Taieb Fassi Fihri, avait reçu l'ambassadeur d'Iran. Après plus d'une semaine d'attente, la réaction est proprement inadmissible, ajoute Naciri. «Nous ne pouvons accepter que l'on affirme que le Maroc porte atteinte à la solidarité islamique et avec la Palestine. L'Iran est mal placé pour nous donner des leçons». Et le ministre de conclure que le Maroc est tranquille et serein à ce niveau tout en précisant que le différend est strictement bilatéral entre Rabat et Téhéran et qu'il ne sert à rien de chercher à brouiller les cartes. source : le matin

Les secteurs économiques: Agriculture

L'inefficacité et la sécheresse a frappé le secteur Sensibles à la sécheresse des céréales dominent l'agriculture marocaine. Le Maroc est largement auto-suffisant en viande, les fruits et légumes, mais de grandes quantités d'autres aliments, notamment le blé, le maïs, le sucre et les produits laitiers, doivent être importés. Les céréales sont cultivées sur environ 60% de la superficie cultivée du pays, y compris les 500.000 ha de terres irriguées. La prédominance de la culture céréalière, sa forte dépendance de la pluviométrie et de l'incidence de la sécheresse ordinaire expliquer la volatilité de la production agricole. L'agriculture reste intensité de main-d'œuvre. L'agriculture et la pêche emploient environ 46% de la population active (et plus de 60% de la main-d'œuvre féminine), mais ne représentent que 11-16% du PIB, en fonction de la pluviométrie. Il ya quelques 8.73m ha de terres cultivées, dont près de 1,25 ha sont irrigués. La pluie du secteur reste largement unmodernised, et est dominé par des exploitations de 5 hectares ou moins. Pour cette raison, il n'est pas surprenant que le secteur agricole est relativement inefficace. Il est moderne, de grandes exploitations en plaine du Gharb, la zone autour de Fès et Meknès, Doukkala la plaine autour de Casablanca et Beni Mellal et Berkane domaines. Ce sont principalement orientées vers l'exportation, en fournissant 80% de la production de vin et d'agrumes, 33% de la production de légumes et 15% de la production céréalière. Ailleurs, toutefois, l'agriculture souffre de la fragmentation de la terre (88% des exploitations sont de 1,5 m sous 10 ha et 55% ont moins de 3 ha), l'un des plus faibles taux de mécanisation et l'utilisation d'engrais (50 kg / ha de cultures arables terre) dans la région et l'utilisation limitée de semences sélectionnées. Le secteur souffre également du coût relativement élevé de l'énergie, la pénurie d'investissements et, bien sûr, l'ordinaire de l'incidence de la sécheresse, qui oblige le gouvernement à mettre de côté des fonds importants pour la sécheresse, des mesures de secours. Les criquets sont parfois un problème dans l'extrême sud, comme en 2003/04, bien que les dommages aux cultures est faible. Dans un effort visant à stimuler l'investissement privé dans l'agriculture, le gouvernement a lancé un programme de location des terres visant à transférer de grandes quantités de terres arables, de deux entreprises d'État, la Société de développement agricole et la Société de gestion des terres agricoles, à national et international, les investisseurs privés par le biais d'un partenariat public-privé (PPP) régime. Au cours de la première phase du programme, qui a été lancé en 2005, environ 44.000 ha a été loué à 174 investisseurs, générant des investissements totaux de Dh4.7bn (US $ 570000). La deuxième phase devrait générer des investissements Dh6bn lorsque la valeur des contrats attribués en 2008. Le gouvernement cherche également à un transfert annuel de 50.000 ha de terres appartenant à l'Etat à des investisseurs privés par le biais d'autres formes de PPP qui sont actuellement en cours d'examen.